Un excédent d’un peu plus de 4 milliards de FCP, dont 3,8 milliards de résultat financier permet à l’OPT de répondre favorablement à la demande de versement de dividendes au bénéfice du budget du Pays. L'entreprise verse des dividendes à son actionnaire mais doit aussi investir.
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Les comptes 2013 de l'OPT ont donc été approuvés, hier, par les représentants à l'Assemblée de Polynésie. Ils ont révélé 3,8 Milliards de FCP de bénéfices mais l'entreprise a lourdement investi depuis. Elle a développé son réseau d'antenne Vini dans les archipels, déplacé sa tête de réseau TNS de Los Angeles à la plateforme de Papenoo et s'apprête à lancer son offre commerciale triple play.
Aucun détail n'a été communiqué sur l'impact de ces investissements sur les résultats du groupe, mais la "cagnotte" réservée au Pays pourrait bien fondre comme neige au soleil.
Et J.F. Martin de trancher: "on pourra jauger par rapport aux investissements que nous allons financer dans les années qui viennent, de pouvoir distribuer des dividendes au pays. RIen n'est définitif !"
"Il n'est pas anormal qu'une entreprise verse des dividendes à son actionnaire" conclut-il, "encore faut-il qu'il le faire de façon concertée, coordonnée, sans obérer nos capacités d'investissement".
Aucun détail n'a été communiqué sur l'impact de ces investissements sur les résultats du groupe, mais la "cagnotte" réservée au Pays pourrait bien fondre comme neige au soleil.
245 Millions de FCP investis à Papenoo
Jean François Martin, le directeur de l'Office précise que "l'OPT ne peut distribuer des dividendes que si l'OPT dégage un résultat. Sur ce résultat, il faut quand même se rendre compte des investissements de l'OPT. Les projections qui sont en cours dans le cadre des orientations stratégiques vont donner un ordre d'idée des résultats futurs de l'OPT et du groupe avec VINI".Et J.F. Martin de trancher: "on pourra jauger par rapport aux investissements que nous allons financer dans les années qui viennent, de pouvoir distribuer des dividendes au pays. RIen n'est définitif !"
"Il n'est pas anormal qu'une entreprise verse des dividendes à son actionnaire" conclut-il, "encore faut-il qu'il le faire de façon concertée, coordonnée, sans obérer nos capacités d'investissement".