La quête a duré 55 ans ! Entre Bora Bora, la Norvège et Tahiti, il n’a pas été facile pour Sylvie Buchin et son père de se retrouver, mais leurs chemins ont fini par se croiser.
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Sylvie n’aurait jamais imaginé qu’un simple coup de fil allait bouleverser sa vie. C’était un mercredi, à Paea, et elle ne l’oubliera jamais.
La quête a été difficile, car Sylvie n’a pas toutes les cartes en main. Elle ne connaît ni le nom ni l’origine de son père, qui a connu sa mère à Bora Bora.
En Norvège, son père a un peu plus de chance : il a une date de naissance et un nom.
En 2013, il décide de revenir au fenua accompagné de ses deux autres filles, à la recherche de Sylvie.
Il voyage en croisière dans les Îles Sous-le-vent, pensant retrouver sa fille à Bora Bora. Grâce au bouche à oreille, c’est à Tahiti qu’ils finissent par se retrouver.
Malgré la barrière de la langue, un lien très fort se crée entre Sylvie et son père.
Depuis ils ne se sont plus perdus de vue. Aujourd’hui âgé de 81 ans, le père a du mal à prendre l’avion pour rendre visite à Sylvie. Alors la prochaine fois, c’est peut-être elle qui ira le rejoindre sur sa terre natale, en Norvège.
« Pendant 15 minutes, je suis restée bloquée »
La quête a été difficile, car Sylvie n’a pas toutes les cartes en main. Elle ne connaît ni le nom ni l’origine de son père, qui a connu sa mère à Bora Bora.
En Norvège, son père a un peu plus de chance : il a une date de naissance et un nom.
En 2013, il décide de revenir au fenua accompagné de ses deux autres filles, à la recherche de Sylvie.
Il voyage en croisière dans les Îles Sous-le-vent, pensant retrouver sa fille à Bora Bora. Grâce au bouche à oreille, c’est à Tahiti qu’ils finissent par se retrouver.
« J’ai pleuré, il a pleuré aussi »
Malgré la barrière de la langue, un lien très fort se crée entre Sylvie et son père.
Depuis ils ne se sont plus perdus de vue. Aujourd’hui âgé de 81 ans, le père a du mal à prendre l’avion pour rendre visite à Sylvie. Alors la prochaine fois, c’est peut-être elle qui ira le rejoindre sur sa terre natale, en Norvège.
À 55 ans, Sylvie retrouve son père norvégien