Vendredi 17 novembre, quatre trafiquants de drogues ont été jugés au tribunal correctionnel de Nouméa. D'origines lituanienne et lettone, ils avaient été arrêtés au large des Tonga avec à bord de leur navire 1400 kg de cocaïne pure.
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1 tonne 400 de cocaïne pure... C'est la saisie record de drogue réalisée par les autorités dans le Pacifique Sud. Soit l’équivalent de douze milliards de Fcfp. La drogue avait été saisie sur un voilier Afalina, en haute mer, au large des îles Tonga. Son équipage, composé de quatre hommes de nationalité lituanienne et lettone âgés de 19 à 41 ans, était étroitement surveillé par les autorités françaises, puis avait été arrêté le 27 juillet dernier.
Vendredi 17 novembre, les prévenus jugés pour trafic de stupéfiants ont été jugés par le tribunal correctionnel de Nouméa. Le capitaine de l'Afalina a écopé de sept ans de prison avec maintien en détention, les trois marins ont, eux, été condamnés à six ans de prison et dix ans d'interdiction de territoire français.
"On étudie très sérieusement la possibilité de faire appel car 7 ans d'emprisonnement reste une peine lourde", confie Me Jean-Victor Bonnifase, avocat du capitaine de navire. La procédure a été complexe et lourde avec de nombreuses pièces, selon les avocats de la défense. "Nous avons soulevé bon nombre de nullités et d'irrégularités (...) Le tribunal n'a pas retenu ces nullités, c'est une déception mais je pense qu'on ne s'arrêtera pas", explique Me Barbara Brunard, avocate de la défense, qui devrait, elle aussi, faire appel.
Vendredi 17 novembre, les prévenus jugés pour trafic de stupéfiants ont été jugés par le tribunal correctionnel de Nouméa. Le capitaine de l'Afalina a écopé de sept ans de prison avec maintien en détention, les trois marins ont, eux, été condamnés à six ans de prison et dix ans d'interdiction de territoire français.
"On étudie très sérieusement la possibilité de faire appel car 7 ans d'emprisonnement reste une peine lourde", confie Me Jean-Victor Bonnifase, avocat du capitaine de navire. La procédure a été complexe et lourde avec de nombreuses pièces, selon les avocats de la défense. "Nous avons soulevé bon nombre de nullités et d'irrégularités (...) Le tribunal n'a pas retenu ces nullités, c'est une déception mais je pense qu'on ne s'arrêtera pas", explique Me Barbara Brunard, avocate de la défense, qui devrait, elle aussi, faire appel.