Le Conseil national de la résistance a vu le jour à Paris en pleine occupation allemande le 27 mai 1943.
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Raymond Yeddou Chef des subdivisions administratives des Îles du Vent et des Îles Sous-le-Vent, a représenté le Haut-Commissaire de la République lors de la cérémonie commémorative organisée à l'occasion de la journée nationale de la Résistance, dimanche 27 mai, avenue Pouvana'a a Oopa.
Après avoir fait lecture du message de Geneviève Darrieussecq, Secrétaire d’Etat auprès de la ministre des armées, M. Raymond Yeddou, Jacques Raynal, représentant le Président de la Polynésie française, Sylvana Puhetini, représentant le président de l'Assemblée de la Polynésie française, René Temeharo, représentant le maire de Papeete et Didier Rivière, représentant l'Amiral COMSUP ont déposé une gerbe devant le monument aux morts.
Message de Geneviève Darrieussecq , Secrétaire d’Etat auprès de la ministre des armées :
Aujourd’hui, la France honore l’armée de l’ombre et salue ses héros de la Résistance. La Nation reconnaissante rend hommage à ceux qui, malgré la répression, entrèrent dans l’histoire par la force d’un refus et par la puissance de leur engagement. Ils surent saisir le drapeau de l’honneur pour le hisser aux cotés de l’étendard de la liberté.
Aujourd’hui, la France se souvient de la création du Conseil National de la Résistance.
Dans la tourmente de l’Occupation et des heures sombres, le 27 mai 1943, il y a 75 ans, dans un appartement parisien du 48 rue du Four, les représentants de huit mouvements de Résistance, de six partis politiques et de deux syndicats, décidèrent d’unir leurs forces pour lutter contre l’occupant. Pour que rien ne soit improvisé, pour que tout soit préparé, pour que le progrès réponde à l’abaissement vichyste, ils préparèrent les réformes de la France libérée.
En dépassant les différences et les clivages, ils répondirent à une exigence, celle de l'unité. Sous les auspices de Jean Moulin, ils firent d’un « désordre de courage » une armée de l’intérieur prête à relever la République.
La jeunesse de France joua un rôle éminent dans la Résistance. Saluons la mémoire des lycéens et étudiants. Souvenons-nous des jeunes Français qui résistèrent ou prirent les armes dans les maquis de toute la France.
Cette Journée nationale est un appel à la jeunesse. Nous l’invitons à se souvenir, à perpétuer la mémoire et à faire sienne les valeurs du CNR.
En ce 75e anniversaire, la Résistance demeure une source d’admiration et un exemple d’unité dans l’épreuve. Attachés aux valeurs humanistes, à la dignité humaine, à la liberté, à l’égalité et à la fraternité, nous devons faire vivre encore et toujours l’esprit du 27 mai 1943 pour que la flamme de la Résistance ne s’éteigne jamais.
Après avoir fait lecture du message de Geneviève Darrieussecq, Secrétaire d’Etat auprès de la ministre des armées, M. Raymond Yeddou, Jacques Raynal, représentant le Président de la Polynésie française, Sylvana Puhetini, représentant le président de l'Assemblée de la Polynésie française, René Temeharo, représentant le maire de Papeete et Didier Rivière, représentant l'Amiral COMSUP ont déposé une gerbe devant le monument aux morts.
Message de Geneviève Darrieussecq , Secrétaire d’Etat auprès de la ministre des armées :
Aujourd’hui, la France honore l’armée de l’ombre et salue ses héros de la Résistance. La Nation reconnaissante rend hommage à ceux qui, malgré la répression, entrèrent dans l’histoire par la force d’un refus et par la puissance de leur engagement. Ils surent saisir le drapeau de l’honneur pour le hisser aux cotés de l’étendard de la liberté.
Aujourd’hui, la France se souvient de la création du Conseil National de la Résistance.
Dans la tourmente de l’Occupation et des heures sombres, le 27 mai 1943, il y a 75 ans, dans un appartement parisien du 48 rue du Four, les représentants de huit mouvements de Résistance, de six partis politiques et de deux syndicats, décidèrent d’unir leurs forces pour lutter contre l’occupant. Pour que rien ne soit improvisé, pour que tout soit préparé, pour que le progrès réponde à l’abaissement vichyste, ils préparèrent les réformes de la France libérée.
En dépassant les différences et les clivages, ils répondirent à une exigence, celle de l'unité. Sous les auspices de Jean Moulin, ils firent d’un « désordre de courage » une armée de l’intérieur prête à relever la République.
La jeunesse de France joua un rôle éminent dans la Résistance. Saluons la mémoire des lycéens et étudiants. Souvenons-nous des jeunes Français qui résistèrent ou prirent les armes dans les maquis de toute la France.
Cette Journée nationale est un appel à la jeunesse. Nous l’invitons à se souvenir, à perpétuer la mémoire et à faire sienne les valeurs du CNR.
En ce 75e anniversaire, la Résistance demeure une source d’admiration et un exemple d’unité dans l’épreuve. Attachés aux valeurs humanistes, à la dignité humaine, à la liberté, à l’égalité et à la fraternité, nous devons faire vivre encore et toujours l’esprit du 27 mai 1943 pour que la flamme de la Résistance ne s’éteigne jamais.