On dénombre 1 700 polynésiens handicapés à 80%.
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En cette journée internationale dédiée aux personnes en situation de handicap, pas de grands événements, juste un quotidien, le fonctionnement habituel. « Cette fête, nous la célébrons depuis 20 ans, chaque jours.
Chaque journée est une journée particulière, une journée durant laquelle on va accompagner les usagers du centre. Mais aujourd'hui est un jour un petit peu spécial, puisque nous avons un papa qui est venu prêter main forte à notre petit poulailler.
Notre journée est extraordinaire en cela ». Stéphane Marandin, le directeur du centre Papa Nui qui compte 28 pensionnaires, cotoie tous les jours des polynésiens handicapés . Il souhaite que les personnes handicapées soient considérées comme tout le monde.
Pas de télétravail pour les travailleurs dans le social non plus. Ils sont d'ailleurs très heureux de travailler aux côtés des trisomiques dont ils ont la charge.
C'est le cas par exemple de Guillaume Epatahi, éducateur spécialisé. « Ils sont toujours volontaires pour mettre la main à la pâte. Ils sont toujours épanouis et ça me motive carrément pour venir travailler avec eux, confie-t-il, éducateur spécialisé. Les jeunes pensionnaires handicapés ont aménagé avec son aide un véritable potager avec des fleurs.
Chaque journée est une journée particulière, une journée durant laquelle on va accompagner les usagers du centre. Mais aujourd'hui est un jour un petit peu spécial, puisque nous avons un papa qui est venu prêter main forte à notre petit poulailler.
Notre journée est extraordinaire en cela ». Stéphane Marandin, le directeur du centre Papa Nui qui compte 28 pensionnaires, cotoie tous les jours des polynésiens handicapés . Il souhaite que les personnes handicapées soient considérées comme tout le monde.
Pas de télétravail pour les travailleurs dans le social non plus. Ils sont d'ailleurs très heureux de travailler aux côtés des trisomiques dont ils ont la charge.
C'est le cas par exemple de Guillaume Epatahi, éducateur spécialisé. « Ils sont toujours volontaires pour mettre la main à la pâte. Ils sont toujours épanouis et ça me motive carrément pour venir travailler avec eux, confie-t-il, éducateur spécialisé. Les jeunes pensionnaires handicapés ont aménagé avec son aide un véritable potager avec des fleurs.