En plein milieu des pinus, l'entreprise emploie 5 personnes depuis 4 ans, elle expédie le bois coupé à Tahiti. Elle existe depuis 4 ans et elle est installée en haut d'une colline.
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Comment réussir le pari du développement économique dans les îles? Tubuai Bois est un scierie et embauche à Tubuai aux Australes. Elle existe depuis 4 ans et elle est installée en haut d'une colline, au beau milieu des pinus, des arbres qui ont été plantés il y a 20 ans et qui sont arrivés à maturité. L'entreprise accueille des jeunes, désireux de se trouver un avenir sur leur île.
A Tubuai, les activités sont peu déclinantes et le tourisme peut difficilement suffire. Alors pour créer de l'activité, il y a ces nombreuses forêts de pinus sur les hauteurs. 40 m3 par mois partent vers Tahiti. Mais cela n'a pas été une sinécure d'en arriver là. Désormais pourvu d'une machine super performante, l'entreprise attire des jeunes, désireux de s'investir dans le projet, comme Kevin Kintz, employé, et Tiare Reid.
Tiare a appris grâce au manuel avant de venir s'y perfectionner. Occupée professionnellement ailleurs la semaine, elle progresse de manière visible.
Pour Stéphanie Tau, le PDG de l'entreprise, les difficultés ne manquent pas. Faute de matériel suffisant, la découpe des arbres en forêt n'est pas toujours facile.
Désormais suivie par plusieurs organismes qui la conseille, Stéphanie compte encore investir et pérenniser Tubuai bois. D'autant que la législation vient tout juste d'être modifiée en faveur des producteurs locaux de bois.
Avec cinq salariés à plein temps dont un travailleur handicapé et plusieurs jeunes, la scierie de Tubuai démontre que même loin des centres économiques, une telle activité peut être viable.
A Tubuai, les activités sont peu déclinantes et le tourisme peut difficilement suffire. Alors pour créer de l'activité, il y a ces nombreuses forêts de pinus sur les hauteurs. 40 m3 par mois partent vers Tahiti. Mais cela n'a pas été une sinécure d'en arriver là. Désormais pourvu d'une machine super performante, l'entreprise attire des jeunes, désireux de s'investir dans le projet, comme Kevin Kintz, employé, et Tiare Reid.
Tiare a appris grâce au manuel avant de venir s'y perfectionner. Occupée professionnellement ailleurs la semaine, elle progresse de manière visible.
Pour Stéphanie Tau, le PDG de l'entreprise, les difficultés ne manquent pas. Faute de matériel suffisant, la découpe des arbres en forêt n'est pas toujours facile.
Désormais suivie par plusieurs organismes qui la conseille, Stéphanie compte encore investir et pérenniser Tubuai bois. D'autant que la législation vient tout juste d'être modifiée en faveur des producteurs locaux de bois.
Avec cinq salariés à plein temps dont un travailleur handicapé et plusieurs jeunes, la scierie de Tubuai démontre que même loin des centres économiques, une telle activité peut être viable.