Le maire a toujours refusé que les hôtels se couvrent de palmex pour imposer les toits en pandanus naturel. La pratique du tressage est donc fortement encouragée par le conseil municipal. Dans le district d'Anau, les habitants savent toujours le faire grâce au savoir des anciens
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Bora Bora, la perle du Pacifique, a perdu de son éclat depuis que les touristes l'ont désertée. Malgré la crise économique sur place, certains artisans ne chôment pas en vue d'un retour à la normale. Le maire a toujours refusé que les hôtels se couvrent de palmex pour imposer les toits en pandanus naturel. Les hôteliers ont du s'y faire mais c'est le prix à payer pour conserver une certaine authenticité. La pratique du tressage est donc fortement encouragée par le conseil municipal.
Dans le district d'Anau, les habitants savent toujours le faire grâce au savoir des anciens, transmis de génération en génération. Les différentes étapes pour arriver au produit final demandent patience et volonté. Et, les jeunes initiés ne cachent pas leur fierté de contribuer à l'économie de l'île. "J'ai appris avec mon grand-père, ma grand-mère et mes parents. J'ai appris depuis que je suis petit", explique Marama Monoihere, jeune artisan du pandanus.
Dans le district d'Anau, les habitants savent toujours le faire grâce au savoir des anciens, transmis de génération en génération. Les différentes étapes pour arriver au produit final demandent patience et volonté. Et, les jeunes initiés ne cachent pas leur fierté de contribuer à l'économie de l'île. "J'ai appris avec mon grand-père, ma grand-mère et mes parents. J'ai appris depuis que je suis petit", explique Marama Monoihere, jeune artisan du pandanus.