Les touristes US ont envie de voir la Polynésie. Bien sûr, ce n'est pas l'euphorie d'avant la crise mais, à Bora Bora, l'accent anglais annonce le début d'une reprise bienvenue.
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Le territoire "Covid Free" : un label qui fait écho auprès des Américains ? En tout cas, les touristes US ont envie de visiter à nouveau la Polynésie française et en particulier Bora Bora.
Malgré la crise, le rêve américain au coeur de la perle du Pacifique ne s'est donc pas éteint. "Je désirais venir à Bora Bora pour ma lune de miel. Etant jeune, je rêvais déjà à cette île que j'avais vue dans les magazines", confie Hannah Robinson, une touriste américaine. Son jeune mari a priviligié la Polynésie pour sa situation actuelle de "Covid Free". "Avec toutes les mesures prises avant de venir, nous nous sentons en sécurité en Polynésie".
Sur la carte du monde, la Polynésie française attire les regards des citoyens américains. "Les touristes qui arrivent essaient d'aller dans des endroits assez isolés. On va voir beaucoup de touristes qui ont envoyé leur yatch et les rejoignent ensuite", explique Christopher Kozely, agent consulaire des USA à Tahiti.
A Bora Bora, les hôtels sont à peine à 40% d'occupation sous le seuil de la rentabilité. Mais il faut ouvrir coûte que coûte, maintenir la destination pour l'après. "L'arrivée des Américains ici a fait un petit boum chez certaines personnes. Mais chez des gens comme nous, qui vivent du tourisme, on voit ça d'un regard différent, on est plus heureux", confie Raitemanu Tehihipo, prestataire de services.
Malgré la crise, le rêve américain au coeur de la perle du Pacifique ne s'est donc pas éteint. "Je désirais venir à Bora Bora pour ma lune de miel. Etant jeune, je rêvais déjà à cette île que j'avais vue dans les magazines", confie Hannah Robinson, une touriste américaine. Son jeune mari a priviligié la Polynésie pour sa situation actuelle de "Covid Free". "Avec toutes les mesures prises avant de venir, nous nous sentons en sécurité en Polynésie".
Sur la carte du monde, la Polynésie française attire les regards des citoyens américains. "Les touristes qui arrivent essaient d'aller dans des endroits assez isolés. On va voir beaucoup de touristes qui ont envoyé leur yatch et les rejoignent ensuite", explique Christopher Kozely, agent consulaire des USA à Tahiti.
A Bora Bora, les hôtels sont à peine à 40% d'occupation sous le seuil de la rentabilité. Mais il faut ouvrir coûte que coûte, maintenir la destination pour l'après. "L'arrivée des Américains ici a fait un petit boum chez certaines personnes. Mais chez des gens comme nous, qui vivent du tourisme, on voit ça d'un regard différent, on est plus heureux", confie Raitemanu Tehihipo, prestataire de services.
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