La culture du coprah ne connait pas la crise

La culture du coprah ne connait pas la crise
A Bora Bora les sacs de cocos décortiquées sont collectés chaque semaine.

La coprah culture est l’un des rares secteurs à ne pas avoir souffert de la crise. A Bora Bora, tous les lundis, les copraculteurs ont rendez-vous au quai de Fare Piti pour y déposer le fruit de leur labeur. Ensaché, le coprah est vendu 140 francs le kilo en vue d’être expédié par bateau à Papeete où il sera traité par l'huilerie de Tahiti. Chaque sac vendu fait vivre des familles ou génère un complément de revenu aux agriculteurs occasionnels.

Lucien Terii, le responsable de "Coprah Bora" collecte toute la production de l’île.