C’est la première polynésienne à occuper ce poste. La nouvelle directrice prendra ses fonctions ce lundi 6 janvier 2020. Une arrivée très attendue par les syndicats.
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Claude Panero prendra ses fonctions de directrice du CHPF lundi 6 janvier 2020. Elle occupait jusque-là le poste de directrice à la direction des impôts et des contributions. Elle remplace ainsi René Caillet qui était en arrêt maladie, depuis avril dernier. C’est la première fois qu’une polynésienne est affectée à ce poste. Les employés attendent beaucoup de leur nouvelle directrice.
Corinne Tehetia a retracé son parcours :
Les représentants syndicaux espèrent que Claude Panero continuera le travail de son prédécesseur. Pour la CSTPFO, elle devra travailler sur trois points essentiels : le projet d’établissement 2017-2021, les finances et les emplois précaires. Le syndicat majoritaire à l’hôpital du Taaone est toujours dans l’attente du plan de concours du ministère de la fonction publique. Pour Mireille Duval, la situation ne peut plus durer. Un préavis pourrait tomber si rien n’est fait. Roland Frogier, de O Oe To Oe Rima, défend aussi le cas des emplois précaires. Charles Tunoa de la CSIP, lui, préfère laisser la nouvelle directrice prendre ses marques. Il estime que les malades sont plus importants.
Les représentants syndicaux sont interrogés par Corinne Tehetia :
Corinne Tehetia a retracé son parcours :
Claude Panero
Les représentants syndicaux espèrent que Claude Panero continuera le travail de son prédécesseur. Pour la CSTPFO, elle devra travailler sur trois points essentiels : le projet d’établissement 2017-2021, les finances et les emplois précaires. Le syndicat majoritaire à l’hôpital du Taaone est toujours dans l’attente du plan de concours du ministère de la fonction publique. Pour Mireille Duval, la situation ne peut plus durer. Un préavis pourrait tomber si rien n’est fait. Roland Frogier, de O Oe To Oe Rima, défend aussi le cas des emplois précaires. Charles Tunoa de la CSIP, lui, préfère laisser la nouvelle directrice prendre ses marques. Il estime que les malades sont plus importants.
Les représentants syndicaux sont interrogés par Corinne Tehetia :
"Le "c'est en cours", à un moment donné, ça ne passe plus !"