Après le Vaima fitness club, Red zone mettra la clé sous la porte fin septembre. La crise de la Covid-19 les a mis dans le rouge. Malgré tout, certains courageux croient encore à l’investissement dans les salles de fitness. C'est le cas à Mamao où un nouveau complexe devrait voir le jour.
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Dans cette salle qui avait eu à affronter la situation d’un cas contact en juillet dernier, le gérant avait tout fait désinfecter, et si vous y entrez dorénavant, les gels hydroalcooliques et les produits de désinfection, sont présents comme le recommandent les autorités. Malgré des investissements lourds notamment sur la salle d’accueil, c’est la désaffection des adhérents qui a signé sa fermeture.
Depuis le début de la crise de la Covid-19 en mars, la salle a enregistré 50% d’adhésion en moins alors qu’il faut sortir plus de 2 millions de Fcfp de frais par mois. Une situation impossible pour le gérant Yann Tregoat. Il nous confie qu’il a "retourné le problème dans tous les sens pour tenter de le résoudre, mais sans adhérents, c’est impossible. Il vaut mieux arrêter la tête haute que vendre avec un surendettement."
Pour certains adhérents de la première heure cette nouvelle est un choc. Comme Claude Louis, un octogénaire qui vient ici cinq fois par semaine avec son épouse de 79 ans. Red zone fait partie intégrante de leur quotidien et de leur équilibre. Lui qui habite à deux kilomètres, peut venir comme il lui plaît, "pour se maintenir en forme" mais aussi pour garder un lien social.
Dans le bâtiment où est situé Red Zone, il y'a des médecins, des boutiques et des restaurants, de quoi passer une journée, pour ces personnes âgées quelques fois isolées. La Covid-19 mais avant tout la crainte de l’attraper a fini d’achever cette salle mise à mal par le confinement. Le 28 septembre elle fermera définitivement ses portes, avant la liquidation aux enchères du matériel.
A Mamao pourtant, certains courageux croient encore à la possibilité d’investissement dans les salles de fitness. En effet, dans la rue Georges Bambridge, un nouveau complexe fitness est en construction. Le maître d’oeuvre assure que les normes adaptées à la Covid-19 ont été prises en compte pour ce projet comme toutes les autres déjà exigées. Avec un espace plus grand la possibilité de distanciation est plus facile par exemple.
Le projet qui couvrira près de 1000m² sur trois niveaux, avec des accès et un équipement PMR dédié, vise des prix cassés comme c’est déjà le cas en Nouvelle-Calédonie. Reste à savoir si les adhérents, eux, seront au rendez-vous.
Depuis le début de la crise de la Covid-19 en mars, la salle a enregistré 50% d’adhésion en moins alors qu’il faut sortir plus de 2 millions de Fcfp de frais par mois. Une situation impossible pour le gérant Yann Tregoat. Il nous confie qu’il a "retourné le problème dans tous les sens pour tenter de le résoudre, mais sans adhérents, c’est impossible. Il vaut mieux arrêter la tête haute que vendre avec un surendettement."
Pour certains adhérents de la première heure cette nouvelle est un choc. Comme Claude Louis, un octogénaire qui vient ici cinq fois par semaine avec son épouse de 79 ans. Red zone fait partie intégrante de leur quotidien et de leur équilibre. Lui qui habite à deux kilomètres, peut venir comme il lui plaît, "pour se maintenir en forme" mais aussi pour garder un lien social.
Dans le bâtiment où est situé Red Zone, il y'a des médecins, des boutiques et des restaurants, de quoi passer une journée, pour ces personnes âgées quelques fois isolées. La Covid-19 mais avant tout la crainte de l’attraper a fini d’achever cette salle mise à mal par le confinement. Le 28 septembre elle fermera définitivement ses portes, avant la liquidation aux enchères du matériel.
A Mamao pourtant, certains courageux croient encore à la possibilité d’investissement dans les salles de fitness. En effet, dans la rue Georges Bambridge, un nouveau complexe fitness est en construction. Le maître d’oeuvre assure que les normes adaptées à la Covid-19 ont été prises en compte pour ce projet comme toutes les autres déjà exigées. Avec un espace plus grand la possibilité de distanciation est plus facile par exemple.
Le projet qui couvrira près de 1000m² sur trois niveaux, avec des accès et un équipement PMR dédié, vise des prix cassés comme c’est déjà le cas en Nouvelle-Calédonie. Reste à savoir si les adhérents, eux, seront au rendez-vous.