Le syndicat du SNUIPP demande un protocole renforcé dans les établissements scolaires du premier et du second degré.
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Les principaux syndicats métropolitains ont lancé un appel à la grève ce mardi. Les acteurs du secteur de l'éducation réclament la continuité pédagogique. Ils veulent que les Établissements restent ouverts, et reprochent au gouvernement de ne pas prendre les mesures nécessaires à la reprise des cours en toute sécurité.
En Polynésie aussi le personnel de l'Éduaction réclame un protocole renforcé. Le but est de mieux protéger le personnel, qu’il soit enseignant ou autre dans les Etablissements. Ils demandent également avantage de protection pour les élèves.
« Ce ne sont pas 20 moyens supplémentaires qui vont permettre de faire respecter les gestes barrières de manière rigoureuse, dénonce John Mau, représentant syndical au SNUIPP, le syndicat national unitaire des instituteurs et professeurs des écoles. Nous demandons au moins 5 personnes par école et 10 par établissement. Il faut que les surfaces soient nettoyées comme l'exigent les normes. Nous exigeons que la distanciation soit respectée, car dans les établissements rien n'a changé. Les masques doivent être obligatoires pour les enfants de 6 ans et plus, comme ce qui est demandé en métropole. »
À Bora Bora, l'association des parents d’élèves soutient les grévistes du Lycée. Son président, Timi Maitaihau, estime que les revendications sont légitimes et souhaiterait d'ailleurs plus de précisions sur les mesures mises en place au sein de l’établissement.
En métropole, les établissements scolaires font partie des exceptions au confinement national. Les syndicats veulent à tout prix éviter que les cours ne soient arrêtés comme au premier confinement.
En Polynésie aussi le personnel de l'Éduaction réclame un protocole renforcé. Le but est de mieux protéger le personnel, qu’il soit enseignant ou autre dans les Etablissements. Ils demandent également avantage de protection pour les élèves.
« Ce ne sont pas 20 moyens supplémentaires qui vont permettre de faire respecter les gestes barrières de manière rigoureuse, dénonce John Mau, représentant syndical au SNUIPP, le syndicat national unitaire des instituteurs et professeurs des écoles. Nous demandons au moins 5 personnes par école et 10 par établissement. Il faut que les surfaces soient nettoyées comme l'exigent les normes. Nous exigeons que la distanciation soit respectée, car dans les établissements rien n'a changé. Les masques doivent être obligatoires pour les enfants de 6 ans et plus, comme ce qui est demandé en métropole. »
À Bora Bora, l'association des parents d’élèves soutient les grévistes du Lycée. Son président, Timi Maitaihau, estime que les revendications sont légitimes et souhaiterait d'ailleurs plus de précisions sur les mesures mises en place au sein de l’établissement.
En métropole, les établissements scolaires font partie des exceptions au confinement national. Les syndicats veulent à tout prix éviter que les cours ne soient arrêtés comme au premier confinement.