Le vice-président du Medef Olivier Kressmann est venu livrer ses impressions sur les actuelles revendications syndicales.
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La réforme de la PSG (protection sociale généralisée) et plus précisément la composition du conseil d’administration de la CPS : c'est ce qui bloque en ce moment la sortie du mouvement de grève générale initié il y a une semaine par l'intersyndicale. Ces derniers réclament 10 sièges, contre la proposition du gouvernement qui est de "5/5/5". 5 représentants du Pays, 5 représentants des salariés et 5 représentants des employeurs.
Olivier Kressmann, vice-président du Medef, estime cette répartition équitable : "les patrons cotisent deux fois plus que les employés et le gouvernement est le plus gros des employeurs (...) La réparation proposée par le gouvernement est tout à fait logique."
Il est interrogé en direct par Maruki Dury :