Plus de 170 000 personnes touchées par la montée des eaux restent réfugiées dans des abris. Des pluies torrentielles ont commencé à tomber, la veille du Nouvel An, déclenchant des crues soudaines et des glissements de terrain dans la région de Jakarta,
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Des dizaines de milliers d'Indonésiens sont encore dans l'urgence. Une partie de la population n'a toujours pas regagné son domicile, samedi 4 janvier, après les inondations qui ont frappé la région de Jakarta, faisant 53 morts, selon les autorités. Plus de 170 000 personnes vivant dans des quartiers submergés restent réfugiées dans des abris.
Des pluies torrentielles ont commencé à tomber, la veille du Nouvel An, déclenchant des crues soudaines et des glissements de terrain dans la région de Jakarta, ainsi que dans la région de Lebak, située dans le sud-ouest de l'île de Java, à une centaine de kilomètres de la capitale. L'agence nationale de gestion des catastrophes annonce, samedi, que 53 personnes sont mortes et une personne est portée disparue.
Des représentants officiels rendront visite samedi aux personnes sans-abri se trouvant dans les zones les plus touchées. Les abris sont pleins de réfugiés, qui tentent de se reposer sur de minces nattes, alors que la nourriture et l'eau potable commencent à se raréfier. Certains sont contraints d'utiliser les eaux provenant des crues pour se laver et faire la vaisselle.
La plupart des personnes décédées dans ces inondations se sont noyées, ont été ensevelies dans des glissements de terrain ou ont souffert d'hypothermie. Cette catastrophe est la plus meurtrière depuis les inondations de 2013, qui avaient fait plusieurs dizaines de morts à travers la capitale indonésienne.
Des pluies torrentielles ont commencé à tomber, la veille du Nouvel An, déclenchant des crues soudaines et des glissements de terrain dans la région de Jakarta, ainsi que dans la région de Lebak, située dans le sud-ouest de l'île de Java, à une centaine de kilomètres de la capitale. L'agence nationale de gestion des catastrophes annonce, samedi, que 53 personnes sont mortes et une personne est portée disparue.
Un besoin d'eau potable
Des représentants officiels rendront visite samedi aux personnes sans-abri se trouvant dans les zones les plus touchées. Les abris sont pleins de réfugiés, qui tentent de se reposer sur de minces nattes, alors que la nourriture et l'eau potable commencent à se raréfier. Certains sont contraints d'utiliser les eaux provenant des crues pour se laver et faire la vaisselle.
La plupart des personnes décédées dans ces inondations se sont noyées, ont été ensevelies dans des glissements de terrain ou ont souffert d'hypothermie. Cette catastrophe est la plus meurtrière depuis les inondations de 2013, qui avaient fait plusieurs dizaines de morts à travers la capitale indonésienne.