Les pêcheurs de « Ina'a » se font de plus en plus rares, tout comme ces petits alevins très appréciés des Polynésiens.
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Vous l’avez peut-être remarqué, vous en raffolez certainement : les « ina'a » sont de retour… Les petits alevins très appréciés notamment lorsqu'ils sont consommés en beignets. Souvent vendus à 500 francs le petit paquet. Il y a de moins en moins de pêcheurs, et la denrée se fait de plus en plus rare. La qualité de pêcheur de Einaa est aujourd'hui un savoir-faire en voie d’extinction, mais Lai Temauri, a pu en rencontrer un. Il s’appelle Ismael Opare. Ecoutez son interview.
« Chaque session dure entre trois et quatre heures, et parfois on n'en attrape pas beaucoup »