La CODIM s'est réunie durant trois jours à Hiva Oa sous la présidence du maire de Nuku Hiva Benoît Kautaï, en présence des administateurs d'Etat et du Pays. Principaux thémes abordés: le statut de la communauté de communes et la gestion du service public de l'électricité de l'archipel.
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Le choix de l'intercommunalité aux Marquises marque la volonté des élus de la Terre des Hommes, de décider ensemble, des grands axes du développement économique durable de leur archipel.
Un défi difficile à relever. La CODIM, la Communauté de communes des Iles Marquises, est la première du genre sur le territoire national à regrouper des communes séparées par la mer.
Au coeur des débats du conseil communautaire: un problème récurrent dans les îles éloignées : le mode de gestion du service public de l'électricité. Il est pour l'heure différent dans les six îles.
Nuku Hiva, Hiva Oa et Ua Pou ont passé une concession avec EDT-Engie jusqu'á fin septembre 2021. Ua Huka. Fatu Hiva et Tahuata sont en régie municipale jusqu'à fin 2030.
Demain, plusieurs options sont possibles : la concession, la régie ou la societé d'économie mixte à opération unique. La Semop, c'est une forme d'entreprise publique locale.
La CODIM privilégie la carte de la mutualisation du service public de l'électricité à l'échelle de l'archipel. Un marché d'un milliard de francs Pacifique.
Pour aider à la décision prévue pour la fin de l'année, un audit technique, juridique et financier est en cours de finalisation par un bureau d'études.
Un schéma directeur des énergies est aussi sur les rails. Il permettra à la CODIM, d'élaborer un plan pluriannuel d'investissement en faveur de la transition énergétique de l'archipel.
Si l'option de la concession est retenue, elle servira de cahier des charges pour le futur opérateur.
Sur la question statutaire, la CODIM souhaite avec la collectivité, redéfinir son périmètre d'activités. Ses actions se limitent jusqu'alors à des études. Dans l'immédiat, son objectif, c'est d'identifier les actions prioritaires du plan de développement économique qu'elle a élaboré pour l'archipel.
Il s'agit de recenser les ressources financiéres et humaines à mobiliser, de préciser les partenariats privés et les modes de gestion envisagés. Sur cette base, la CODIM veut rendre plus efficace et renforcer sa coopération avec le Pays et l'Etat.
La CODIM a également fait le point sur le dossier Unesco Marquises. Pour rappel, l'étape 2 de la labellisation a eu lieu mi-septembre à Paris devant le comité national des biens français du patrimoine mondial
Un défi difficile à relever. La CODIM, la Communauté de communes des Iles Marquises, est la première du genre sur le territoire national à regrouper des communes séparées par la mer.
Au coeur des débats du conseil communautaire: un problème récurrent dans les îles éloignées : le mode de gestion du service public de l'électricité. Il est pour l'heure différent dans les six îles.
Nuku Hiva, Hiva Oa et Ua Pou ont passé une concession avec EDT-Engie jusqu'á fin septembre 2021. Ua Huka. Fatu Hiva et Tahuata sont en régie municipale jusqu'à fin 2030.
Demain, plusieurs options sont possibles : la concession, la régie ou la societé d'économie mixte à opération unique. La Semop, c'est une forme d'entreprise publique locale.
La CODIM privilégie la carte de la mutualisation du service public de l'électricité à l'échelle de l'archipel. Un marché d'un milliard de francs Pacifique.
Pour aider à la décision prévue pour la fin de l'année, un audit technique, juridique et financier est en cours de finalisation par un bureau d'études.
Un schéma directeur des énergies est aussi sur les rails. Il permettra à la CODIM, d'élaborer un plan pluriannuel d'investissement en faveur de la transition énergétique de l'archipel.
Si l'option de la concession est retenue, elle servira de cahier des charges pour le futur opérateur.
Sur la question statutaire, la CODIM souhaite avec la collectivité, redéfinir son périmètre d'activités. Ses actions se limitent jusqu'alors à des études. Dans l'immédiat, son objectif, c'est d'identifier les actions prioritaires du plan de développement économique qu'elle a élaboré pour l'archipel.
Il s'agit de recenser les ressources financiéres et humaines à mobiliser, de préciser les partenariats privés et les modes de gestion envisagés. Sur cette base, la CODIM veut rendre plus efficace et renforcer sa coopération avec le Pays et l'Etat.
La CODIM a également fait le point sur le dossier Unesco Marquises. Pour rappel, l'étape 2 de la labellisation a eu lieu mi-septembre à Paris devant le comité national des biens français du patrimoine mondial