Le 1er octobre marque le début d’un mois de sensibilisation au cancer du sein. Les actions organisées dans le cadre de l’Octobre Rose sont renouvelées chaque année depuis plus de vingt ans. Aujourd’hui, elles sont toujours aussi nécessaires.
Le cancer du sein est le cancer qui tue le plus en Polynésie et, paradoxalement, il est guéri dans 99% des cas lorsqu’il est dépisté tôt. La solution paraît donc logique : il faut se faire dépister. Cependant, le cancer du sein continue de toucher 135 femmes chaque année, jusqu’à en faire la première cause de décès chez les femmes.
Le soucis, c’est qu’à ce jour, il est tout de même difficile de comptabiliser véritablement le nombre de décès liés au cancer du sein. « On a des difficultés de coordination entre toutes les structures qui interviennent sur le territoire, indique Natacha Helme, présidente de la ligue contre le cancer en Polynésie, on n’arrive pas encore à coordonner tout ça pour avoir des chiffres exacts ».
C’est pourquoi les efforts des associations et des autorités ne décroissent pas. Cette année encore, de nombreux évènements vont être organisés malgré la covid-19. Ainsi, pour répandre le message, le comité polynésien de la ligue contre le cancer rencontrera les élèves dans leurs établissements. Aujourd’hui ils étaient par exemple au lycée Saint Joseph à Punaauia. Là bas, les élèves de classe de 1ère ont ont choisi le thème du cancer du sein en biologie. Ils ont accueilli la ligue avec beaucoup d'enthousiasme.
Les communes aussi ont décoré leurs infrastructures à défaut de rassemblements. Le Marché de Papeete sera également décoré en rose, Papara organise une journée sportive et le Pays, via la direction de la Santé, invite la population à s’habiller en rose le 9 octobre.
La mammographie de dépistage et l’échographie sont prises en charge à 100% chez les femmes âgées d’au moins 50 ans.
« Le problème réellement, c’est qu’on a des difficultés de coordination entre toutes les structures qui interviennent sur le territoire, on n’arrive pas encore à coordonner tout ça pour avoir des chiffres exacts ».
Le soucis, c’est qu’à ce jour, il est tout de même difficile de comptabiliser véritablement le nombre de décès liés au cancer du sein. « On a des difficultés de coordination entre toutes les structures qui interviennent sur le territoire, indique Natacha Helme, présidente de la ligue contre le cancer en Polynésie, on n’arrive pas encore à coordonner tout ça pour avoir des chiffres exacts ».
C’est pourquoi les efforts des associations et des autorités ne décroissent pas. Cette année encore, de nombreux évènements vont être organisés malgré la covid-19. Ainsi, pour répandre le message, le comité polynésien de la ligue contre le cancer rencontrera les élèves dans leurs établissements. Aujourd’hui ils étaient par exemple au lycée Saint Joseph à Punaauia. Là bas, les élèves de classe de 1ère ont ont choisi le thème du cancer du sein en biologie. Ils ont accueilli la ligue avec beaucoup d'enthousiasme.
Les communes aussi ont décoré leurs infrastructures à défaut de rassemblements. Le Marché de Papeete sera également décoré en rose, Papara organise une journée sportive et le Pays, via la direction de la Santé, invite la population à s’habiller en rose le 9 octobre.
La mammographie de dépistage et l’échographie sont prises en charge à 100% chez les femmes âgées d’au moins 50 ans.