Lors du Grand Débat national face aux Outre-mer ce 1er février, Emmanuel Macron a promis de soutenir les yoles martiniquaises au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO. Ceci, au détriment du 'ori tahiti qui était également candidat.
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C'est fini pour cette fois pour le classement du 'ori tahiti au patrimoine culturel immatériel de l'UNESCO. Emmanuel Macron a annoncé ce 1er février devant une soixantaine d'édiles ultramarins, à l'occasion du Grand débat national, qu'il soutiendrait les yoles rondes de Martinique. Or, les Etats peuvent présenter un seul dossier une fois tous les deux ans. « La yole martiniquaise, et bien, je peux vous annoncer que c'est le projet que nous soutenons à l'Unesco pour cette année », a dit le chef de l'État, répondant à une demande d'un maire martiniquais, Raymon Occolier. « Le dossier est prêt, il a été travaillé, donc on est bon ».
La demande d'inscription de la yole au patrimoine immatériel de l'Unesco date de 2017.
En novembre 2018, une délégation menée par le ministre de la culture, Heremoana Maamaatuaiahutapu, avait présenté le dossier à Paris, devant le ministère national de la culture pour candidater à la liste indicative. La liste, composée de 8 dossiers présélectionnés, devait ensuite être arbitrée par le Président de la République. Lui seul décide au final, quel dossier présentera la France à l'UNESCO en mars 2019.
L'inscription au patrimoine immatériel de l'UNESCO vise "à assurer une plus grande visibilité du patrimoine immatériel et à faire connaître des traditions et des savoir-faire portés par les communautés sans pour autant leur reconnaître de critère d’excellence ou d’exclusivité."
Aujourd'hui, 281 éléments au total y sont inscrits.
La demande d'inscription de la yole au patrimoine immatériel de l'Unesco date de 2017.
En novembre 2018, une délégation menée par le ministre de la culture, Heremoana Maamaatuaiahutapu, avait présenté le dossier à Paris, devant le ministère national de la culture pour candidater à la liste indicative. La liste, composée de 8 dossiers présélectionnés, devait ensuite être arbitrée par le Président de la République. Lui seul décide au final, quel dossier présentera la France à l'UNESCO en mars 2019.
L'inscription au patrimoine immatériel de l'UNESCO vise "à assurer une plus grande visibilité du patrimoine immatériel et à faire connaître des traditions et des savoir-faire portés par les communautés sans pour autant leur reconnaître de critère d’excellence ou d’exclusivité."
Aujourd'hui, 281 éléments au total y sont inscrits.