Le conseil fédéral du Tavini Huiraatira s'est réuni samedi 25 juillet dans la salle Piafau à Faa'a. L'occasion pour Oscar Temaru d'informer la presse de la rédaction d'une pétition pour qu'une "vraie justice" soit mise en place en Polynésie.
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Le Tavini Huiraatira a réuni ses dirigeants samedi matin dans la salle Piafau à Faa'a.
Au programme de la journée, le bilan des actions menées cette année et les projets à réaliser ces prochains mois.
D'entrée, le président du parti indépendantiste, Oscar Temaru est revenu sur ses "pe'ape'a" (ennuis NDLR) avec la justice.
Le Tavini Huiraatira lancera prochainement une pétition, "qui rappelle notre droit reconnu par les Nations Unies, notre droit de souveraineté et de propriété sur ce pays avec toutes ses ressources", déclare Oscar Temaru.
Un document qui sera signé, selon le président du Tavini Huiraatira, devant le palais de justice de Papeete. Un acte symbolique pour "dire que nous voulons une justice avec un grand J".
Oscar Temaru qui demande à ce qu'un ministre de la justice soit également nommé "pour notre fenua", et "là, on va régler nos comptes".
Le reportage de Thierry Stampfler et Hiro Terorotua.
Au programme de la journée, le bilan des actions menées cette année et les projets à réaliser ces prochains mois.
D'entrée, le président du parti indépendantiste, Oscar Temaru est revenu sur ses "pe'ape'a" (ennuis NDLR) avec la justice.
"C'est un règlement de compte et non, une justice"
Le Tavini Huiraatira lancera prochainement une pétition, "qui rappelle notre droit reconnu par les Nations Unies, notre droit de souveraineté et de propriété sur ce pays avec toutes ses ressources", déclare Oscar Temaru.
Un document qui sera signé, selon le président du Tavini Huiraatira, devant le palais de justice de Papeete. Un acte symbolique pour "dire que nous voulons une justice avec un grand J".
"Nous voulons être jugés par nos pères et non par des étrangers"
Oscar Temaru qui demande à ce qu'un ministre de la justice soit également nommé "pour notre fenua", et "là, on va régler nos comptes".
Le reportage de Thierry Stampfler et Hiro Terorotua.