"Outsiders du confinement", votre nouvelle web-série qui rend hommage à ceux qui continuent de travailler. Jean-Baptiste est agriculteur et fait partie de ces professions qualifiées "d'essentielles". Pourtant, maintenir son activité est difficile.
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Dans cette web-série, "Les outsiders du confinement", nous rendons hommage aux déconfinés. Déconfinés et obligés de travailler pour assurer le quotidien de la population.
Munis d'une caméra, ils se filment dans leur quotidien chamboulé par l'épidémie de coronavirus. C'est le journal des déconfinés.
Jean-Baptiste Tavanae exploite deux hectares à Papeari : aubergines, tomates, salades, courgettes, concombres, maïs...tout est certifié bio. Il fait partie de ces professions qualifiées "d'essentielles" avec l'épidémie de coronavirus. Pourtant, son quotidien est devenu difficile.
Habituellement épaulé par des stagiaires aujourd'hui confinés, il se retrouve donc seul pour exploiter ses cultures. "Il y a beaucoup de choses à faire : la préparation des sols, la récolte, l'entretien." Sans compter qu'avec le confinement, Jean-Baptiste Tavanae a eu des difficultés pour trouver des semences : "les magasins étaient fermés. J'ai donc dû faire des boutures."
Il gère également seul les livraisons : "avec le confinement, je fais les livraisons proches, jusqu'à Papara. Et après le confinement, je reprends les livraisons vers la ville."
Jean-Baptiste Tavanae fourmille de projets. Il envisage d'ouvrir une plus grande exploitation, toujours en agriculture biologique, sur Raiatea. Et aussi de monter une filière noni certifié de qualité.
Munis d'une caméra, ils se filment dans leur quotidien chamboulé par l'épidémie de coronavirus. C'est le journal des déconfinés.
Jean-Baptiste Tavanae exploite deux hectares à Papeari : aubergines, tomates, salades, courgettes, concombres, maïs...tout est certifié bio. Il fait partie de ces professions qualifiées "d'essentielles" avec l'épidémie de coronavirus. Pourtant, son quotidien est devenu difficile.
Habituellement épaulé par des stagiaires aujourd'hui confinés, il se retrouve donc seul pour exploiter ses cultures. "Il y a beaucoup de choses à faire : la préparation des sols, la récolte, l'entretien." Sans compter qu'avec le confinement, Jean-Baptiste Tavanae a eu des difficultés pour trouver des semences : "les magasins étaient fermés. J'ai donc dû faire des boutures."
Il gère également seul les livraisons : "avec le confinement, je fais les livraisons proches, jusqu'à Papara. Et après le confinement, je reprends les livraisons vers la ville."
Jean-Baptiste Tavanae fourmille de projets. Il envisage d'ouvrir une plus grande exploitation, toujours en agriculture biologique, sur Raiatea. Et aussi de monter une filière noni certifié de qualité.