Le pourcentage de touristes étrangers qui fréquentent les pensions de familles est de 80%.
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Tous les professionels du tourisme avaient les yeux rivés sur le discours des autorités de l'état et du pays ce vendredi 30 octobre matin. Tous ont dû faire face au confinement à partir du mois de mars dernier, et aujourd'hui, ils sont unanimes : un reconfinement serait synonyme de suicide économique.
Aux Gambier, la perliculture était autrefois le secteur le plus développé selon Bianca, propriétaire d'une pension de famille. Mais ce secteur a perdu beaucoup de son dynamisme. Le tourisme est donc devenu le secteur majoritaire de l'archipel. Un confinement en Polynésie serait une catastrophe. « Si la Polynésie venait à être confinée, la situation deviendrait très grave pour notre activité aux Gambier. On sera morts, KO, explique-t-elle. » Mélinda Bodin, présidente de l'association du Tourisme authentique, qui regroupe des pensions de famille de tous les archipels, tient un discours plus direct : « Il ne faut plus confiner ! On a ouvert, maintenant, il faut qu'on assume nos responsabilités jusqu'au bout, déclare-t-elle en ajoutant qu'il faudrait même multiplier les sanctions envers les touristes et professionnels qui ne respecteraient pas les gestes barrières.
Les membres de l'association discutent tous les jours pour tenter de trouver d'éventuelles solutions à cette situation. Seulement, rien que le fait d'aider les associations à remplir leurs formulaires d'aide prend énormément de temps.
Aux Gambier, la perliculture était autrefois le secteur le plus développé selon Bianca, propriétaire d'une pension de famille. Mais ce secteur a perdu beaucoup de son dynamisme. Le tourisme est donc devenu le secteur majoritaire de l'archipel. Un confinement en Polynésie serait une catastrophe. « Si la Polynésie venait à être confinée, la situation deviendrait très grave pour notre activité aux Gambier. On sera morts, KO, explique-t-elle. » Mélinda Bodin, présidente de l'association du Tourisme authentique, qui regroupe des pensions de famille de tous les archipels, tient un discours plus direct : « Il ne faut plus confiner ! On a ouvert, maintenant, il faut qu'on assume nos responsabilités jusqu'au bout, déclare-t-elle en ajoutant qu'il faudrait même multiplier les sanctions envers les touristes et professionnels qui ne respecteraient pas les gestes barrières.
Les membres de l'association discutent tous les jours pour tenter de trouver d'éventuelles solutions à cette situation. Seulement, rien que le fait d'aider les associations à remplir leurs formulaires d'aide prend énormément de temps.