L’occupation du parking du marae Arahurahu à Paea depuis plus d’un mois par les membres du « Polynesian Kindgom of Atooi » trouvera-t-elle son épilogue vendredi ?
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L’affaire a été examinée ce mercredi 19 août matin par le juge des référés, saisi pour expulsion par la Polynésie Française. Une demande qui date du 30 juillet.
À la sortie de l’audience, les chefs coutumiers du royaume ont déclaré qu’ils n’allaient pas quitter leur terre. Ce matin, ils présentaient leurs titres de propriété au juge des référés. Le Pays, lui, soutienait l’expulsion du royaume et de ses sujets en faisant valoir l’interdiction d’accès au marae Arahurahu, ou encore les problèmes sécurité et la salubrité publique. En effet, 9 chapiteaux abritent une trentaine de personnes. Les toilettes et sanitaires sont sommaires et le groupe électrogène serait installé sans mesures de sécurité.
Le site appartient officiellement au Pays depuis 1976. Ce dernier demande ainsi une astreinte de 500 000 fcfp par jour de retard. Le chef du royaume autoproclamé souhaite rencontrer le gouvernement pour trouver une solution pacifique. Ils ne quitteront pas le site même si une procédure d’expulsion est engagée.
À la sortie de l’audience, les chefs coutumiers du royaume ont déclaré qu’ils n’allaient pas quitter leur terre. Ce matin, ils présentaient leurs titres de propriété au juge des référés. Le Pays, lui, soutienait l’expulsion du royaume et de ses sujets en faisant valoir l’interdiction d’accès au marae Arahurahu, ou encore les problèmes sécurité et la salubrité publique. En effet, 9 chapiteaux abritent une trentaine de personnes. Les toilettes et sanitaires sont sommaires et le groupe électrogène serait installé sans mesures de sécurité.
Le site appartient officiellement au Pays depuis 1976. Ce dernier demande ainsi une astreinte de 500 000 fcfp par jour de retard. Le chef du royaume autoproclamé souhaite rencontrer le gouvernement pour trouver une solution pacifique. Ils ne quitteront pas le site même si une procédure d’expulsion est engagée.