Du monoï à la vanille en passant par le vin de Rangiroa, les goûts et les senteurs marqués du sceau tahitien attirent toujours autant l'oeil des visiteurs, surtout en plein froid glacial...
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Alors qu'un froid sibérien a envahi la capitale et le reste de la France, certains métropolitains trouvent refuge au chaud au salon de l'agriculture, organisé jusqu'à dimanche 4 mars au plus grand parc d'exposition à la Porte de Versailles, à Paris.
De nombreux visiteurs se sont adonnés aux joies de parcourir les stands de la Polynésie française. Ils y goûtent et sentent les parfums mystérieux du fenua.
"J'adore le parfum de la fleur de tiare", confie Chantal Bride qui se souvient de l'accueil extraordinaire à Tahiti. Cette année, la Polynésie innove avec des créateurs comme Yann Petit, qui présente une huile médicinale : le tamanu. "Ce produit est très important en France, il est magique et marche bien ici", explique le gérant de la société Heiva à Tahiti.
Ce rendez-vous annuel est primordial pour l'économie polynésienne. "On a fidélisé une certaine clientèle et on essaye de gagner des distributeurs du marché", souligne Tapuarii Barbos, de la chambre d'agriculture à Tahiti.
De nombreux visiteurs se sont adonnés aux joies de parcourir les stands de la Polynésie française. Ils y goûtent et sentent les parfums mystérieux du fenua.
"J'adore le parfum de la fleur de tiare", confie Chantal Bride qui se souvient de l'accueil extraordinaire à Tahiti. Cette année, la Polynésie innove avec des créateurs comme Yann Petit, qui présente une huile médicinale : le tamanu. "Ce produit est très important en France, il est magique et marche bien ici", explique le gérant de la société Heiva à Tahiti.
Ce rendez-vous annuel est primordial pour l'économie polynésienne. "On a fidélisé une certaine clientèle et on essaye de gagner des distributeurs du marché", souligne Tapuarii Barbos, de la chambre d'agriculture à Tahiti.