Mercredi 7 octobre, des professionnels du tourisme dans le secteur nautique se sont réunis à Raiatea. L'objectif : demander aux autorités de l'aide alors que certains n'arrivent pas à s'en sortir, comme l'explique une hôtesse pour des charters.
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Quelques professionnels du secteur du tourisme nautique étaient réunis, mercredi 7 octobre. Ils veulent que les autorités les aident financièrement car, depuis juillet, ils disent ne pas toucher d’aides.
Il s'agit de professionnels qui entrent dans une catégorie spéciale non reconnue par les autorités. Ce qui les conduit, selon eux, à des situations inégales avec certains de leurs collègues. Ainsi, un skippeur peut toucher une aide et pas son hôtesse. "Notre code APE se trouve non éligible, ce qui pose beaucoup de problèmes à certaines qui ne peuvent pas s'en sortir (... ) Il n'y a pas que ce métier qui est touché mais d'autres corps du métier", explique Hinano Bouron, hôtesse pour diverses compagnies de charter locales à Raiatea.
Il s'agit de professionnels qui entrent dans une catégorie spéciale non reconnue par les autorités. Ce qui les conduit, selon eux, à des situations inégales avec certains de leurs collègues. Ainsi, un skippeur peut toucher une aide et pas son hôtesse. "Notre code APE se trouve non éligible, ce qui pose beaucoup de problèmes à certaines qui ne peuvent pas s'en sortir (... ) Il n'y a pas que ce métier qui est touché mais d'autres corps du métier", explique Hinano Bouron, hôtesse pour diverses compagnies de charter locales à Raiatea.