En Nouvelle-Zélande, la police ouvre pour la première fois le dossier d'une tentative d'assassinat sur la Reine Elizabeth II qui remonterait à 1981. Une information révélée très récemment. Explications.
•
Il y a 36 ans, lors d’une visite officielle en Nouvelle-Zélande, la Reine Elizabeth II aurait été la cible d’une tentative d’assassinat. Une tentative que le gouvernement néo-zélandais aurait voulu étouffer, craignant que la famille royale ne remette plus les pieds dans le pays face à une telle menace. C’est en tout cas ce que révèle Tom Lewis, ancien policier de Dunedin et chargé de l’affaire à l’époque, qui a fait ces révélations au magazine Stuff
Remontons le temps... 1981, la reine Elizabeth II est en visite officielle dans le pays, dont elle est le chef d'état, comme des 15 autres royaumes du Commonwealth. Plus de 3500 badauds sont présents. Parmi eux, Christopher John Lewis. Le jeune homme est âgé de 17 ans mais il est déjà connu des services de police pour des faits de vols à mains armée, cruauté animale ou encore incendie volontaire. Ce jour là, armé d’un fusil, il aurait fait feu en direction de la Reine, la balle passant à quelques centimètres de cette dernière.
La parade n'est pas pour autant interrompue et après un petit moment de flottement, la foule reprend ses applaudissements ignorant à cet instant que la Reine venait d’échapper à une tentative d’assassinat. Pour expliquer le bruit suspect, les policiers évoqueront la chute d’un panneau de signalisation puis une explosion d’un pétard à proximité de la parade. Une version officielle qui vient d'être remise en cause...
Retour sur cette affaire avec Brett Kline
Remontons le temps... 1981, la reine Elizabeth II est en visite officielle dans le pays, dont elle est le chef d'état, comme des 15 autres royaumes du Commonwealth. Plus de 3500 badauds sont présents. Parmi eux, Christopher John Lewis. Le jeune homme est âgé de 17 ans mais il est déjà connu des services de police pour des faits de vols à mains armée, cruauté animale ou encore incendie volontaire. Ce jour là, armé d’un fusil, il aurait fait feu en direction de la Reine, la balle passant à quelques centimètres de cette dernière.
La parade n'est pas pour autant interrompue et après un petit moment de flottement, la foule reprend ses applaudissements ignorant à cet instant que la Reine venait d’échapper à une tentative d’assassinat. Pour expliquer le bruit suspect, les policiers évoqueront la chute d’un panneau de signalisation puis une explosion d’un pétard à proximité de la parade. Une version officielle qui vient d'être remise en cause...
Retour sur cette affaire avec Brett Kline