En Polynésie, les lycéens tahitiens passent une épreuve de danse en option facultative pour le baccalauréat. Cette épreuve permet d'obtenir des points supplémentaires.
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Les élèves sont évalués sur deux critères : en tant qu'interprète et en tant que chorégraphe. "Huit points pour chaque critère. Ils vont être évalués sur leur engagement moteur, leur engagement émotionnel.
Mais également sur tous les procédés qu'ils ont utilisés pour la construction de leur chorégraphie", explique Cécile Gilroy, professeure de danse et membre du jury. "C'est quand même compliqué à réaliser une chorégraphie. Surtout quand tu dois mélanger les émotions, la technique", estime Tamaiani Taiho, élève de Terminale ES.
Cette intégration des "sports traditionnels locaux" dans les épreuves du bac est importante pour les Tahitiens. "Ça nous donne notre spécificité locale. Nous avons une langue, une culture. Et pourquoi pas l'exploiter dans un diplôme national ? Je trouve que c'est une très bonne chose", juge Tiare Trompette, professeur à l'école Ori Tahiti.
Mais également sur tous les procédés qu'ils ont utilisés pour la construction de leur chorégraphie", explique Cécile Gilroy, professeure de danse et membre du jury. "C'est quand même compliqué à réaliser une chorégraphie. Surtout quand tu dois mélanger les émotions, la technique", estime Tamaiani Taiho, élève de Terminale ES.
Défendre la culture polynésienne
Cette intégration des "sports traditionnels locaux" dans les épreuves du bac est importante pour les Tahitiens. "Ça nous donne notre spécificité locale. Nous avons une langue, une culture. Et pourquoi pas l'exploiter dans un diplôme national ? Je trouve que c'est une très bonne chose", juge Tiare Trompette, professeur à l'école Ori Tahiti.
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