Malgré une signature de protocole d’accord à EDT, les mécaniciens de Poly-diesel, filiale d'ENGIE, restent en grève. Aucune négociation n'est pour l'heure prévue.
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A la Punaruu, le piquet de grève des mécaniciens de Poly-diesel s'est renforcé malgré une signature de protocole d’accord à EDT, lundi 13 novembre. Du coup, depuis huit jours, les ateliers sont vides.
Les grévistes, dont le mouvement a été initié par la CSIP, demandent une revalorisation des salaires à hauteur de 2,5%. Une requête qui a été refusée. La situation déficitaire de la société ne permettrait pas une telle manœuvre, leur aurait-on répondu. Un argument réfuté par les grévistes. "La société a beaucoup de travail, on refuse même du travail, si après il y a un problème de finance, c'est un problème de management", explique Christophe Leger, porte-parole de la CSIP à Poly-diésel.
Pour l’heure, aucune négociation n'est prévue entre les deux parties. Contactée, la direction refuse de s’exprimer sur le sujet.
Les grévistes, dont le mouvement a été initié par la CSIP, demandent une revalorisation des salaires à hauteur de 2,5%. Une requête qui a été refusée. La situation déficitaire de la société ne permettrait pas une telle manœuvre, leur aurait-on répondu. Un argument réfuté par les grévistes. "La société a beaucoup de travail, on refuse même du travail, si après il y a un problème de finance, c'est un problème de management", explique Christophe Leger, porte-parole de la CSIP à Poly-diésel.
Interview
8e jour de grève pour Poly-diésel
Pour l’heure, aucune négociation n'est prévue entre les deux parties. Contactée, la direction refuse de s’exprimer sur le sujet.