Jeudi 10 mars, les magistrats de la cour d'appel ont rendu leur arrêt dans l'affaire de diffamation opposant Stéphane Diémert à Richard Tuheiva. Selon eux, les faits sont prescrits.
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Cette affaire de diffamation remonte à juillet 2013. En plein débats en séance plénière à l'Assemblée, Richard Tuheiava avait évoqué les liens entre Brigitte Girardin et Stéphane Diémert, ancien président du Haut conseil de Polynésie. L'élu UPLD avait alors dénoncé le rôle supposé de la fondation Progosa, présidée par Mme Girardin et basée à Lomé, qui aurait été impliquée dans un trafic d’influence. Stéphanie Diémert, avait qualifié ces propos de "diffamatoire" et avait attaqué en justice.
Après avoir été débouté en première instance, Stéphane Diémert s'était pourvu en appel. La cour d'appel avait jugé cette affaire dans laquelle l’avocat général avait requis la prescription du dossier après plus de trois mois sans acte de procédure. Le délibéré a été rendu ce 10 mars : la prescription a donc été retenu au civil comme au pénal.
Après avoir été débouté en première instance, Stéphane Diémert s'était pourvu en appel. La cour d'appel avait jugé cette affaire dans laquelle l’avocat général avait requis la prescription du dossier après plus de trois mois sans acte de procédure. Le délibéré a été rendu ce 10 mars : la prescription a donc été retenu au civil comme au pénal.