On pouvait voir un écran noir avec un message en anglais: « Hacké par Ali Rami ». Le site a été piraté à cause du silence international sur l’occupation marocaine du Sahara occidental. Le hacker a finalement retiré lui-même son message sur le site fonction publique.gov.pf.
Depuis l’attaque terroriste contre Charlie Hebdo, de très nombreux sites internet français ont été piratés par des hackeurs se réclamant de la mouvance islamiste… une cyber-guerre qui aurait touché jusqu’à 20 000 sites. Parmi eux, notamment, celui de LADOM, l’Agence de l’Outre-mer, ou encore de l’Institut national de la statistique de Madagascar, avec à chaque fois des messages soutenant les attaques. Le site de la fonction publique polynésienne a également été touché, pour des raisons un peu plus obscures. Alors quelles méthodes pour se protéger ? Les sites d’Outre-mer ont-ils davantage de failles ?
Depuis le début de semaine, une cyber-guerre est déclarée. Lundi soir, par exemple, l'agence de l'Outre Mer a eu la désagréable surprise de voir son site internet totalement hors d'usage. Drapeau noir en page d'accueil et notamment des messages d'insultes à l'encontre de Charlie Hebdo. Ils seraient plusieurs milliers de portails français à avoir connu la méme mésaventure. Ce que disent les experts, c'est qu'il s'agit avant tout de sites assez peu sensibles: des écoles, des hôpitaux ou des municipalités. Des sites très faciles à pirater avec quelques notions d'informatique. C'est pourquoi l'Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d'Information a publié des rappels à destination des administrateurs: sauvegarder ses données notamment, mettre à jours ses logiciels et ses mots de passe trop simples. L'outre Mer n'avait à priori aucune raison d'être plus visé que l'hexagone. Certaines de ses attaques étant réalisées par des robots, il se pourrait qu'ils ne visent que des sites .fr ou localisés en métropole.
Depuis le début de semaine, une cyber-guerre est déclarée. Lundi soir, par exemple, l'agence de l'Outre Mer a eu la désagréable surprise de voir son site internet totalement hors d'usage. Drapeau noir en page d'accueil et notamment des messages d'insultes à l'encontre de Charlie Hebdo. Ils seraient plusieurs milliers de portails français à avoir connu la méme mésaventure. Ce que disent les experts, c'est qu'il s'agit avant tout de sites assez peu sensibles: des écoles, des hôpitaux ou des municipalités. Des sites très faciles à pirater avec quelques notions d'informatique. C'est pourquoi l'Agence Nationale de la Sécurité des Systèmes d'Information a publié des rappels à destination des administrateurs: sauvegarder ses données notamment, mettre à jours ses logiciels et ses mots de passe trop simples. L'outre Mer n'avait à priori aucune raison d'être plus visé que l'hexagone. Certaines de ses attaques étant réalisées par des robots, il se pourrait qu'ils ne visent que des sites .fr ou localisés en métropole.