La maison d'édition Au vent des îles a présenté quatre nouveaux ouvrages pour sa rentrée. Un roman noir, un album jeunesse ou encore un recueil de nouvelles. De quoi s'évader au fil des pages, quelque soit l'âge du lecteur...
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La maison d'édition Au Vent des îles présente quatre nouveaux ouvrages pour cette rentrée 2019.
Pour les plus jeunes, "Maeva peint", de Magdalena Guirao-Julien, illustré par Christine Davenier, raconte l'histoire d'une petite fille tête en l’air mais pleine d’envies. Elle passe son temps à peindre sur tout ce qui lui passe sous le pinceau et met finalement de la couleur dans la vie.
A partir de 3 ans.
Chez Retz, Magdalena a écrit les fameuses Petites Méthodes ainsi que plusieurs titres de la collection des Petits Cahiers pour les enfants qui veulent s’entraîner à écrire, à lire ou à calculer de manière ludique à la maison. Magdalena est aussi l’auteure de la collection à succès « Je suis en CP » aux éditions Père Castor Flammarion, qui propose des histoires adaptées aux enfants de CP afin de les accompagner dans leur apprentissage de la lecture (17 volumes parus à ce jour !). "La vague", d'Ingrid Astier, une des grandes voix féminines du polar français, est un roman noir. L'intrigue se déroule à Teahupoo, où chacun vient chercher l'aventure. Hiro est le surfeur légendaire de La Vague. Après sept ans d’absence, sa sœur Moea retrouve leur vallée luxuriante. Et Birdy, un ancien champion de surf brisé par le récif. Arrive Taj, un Hawaïen sous ice, qui pense que tout lui appartient.
Mais on ne touche pas impunément au paradis. Bienvenue en enfer. Ici c’est Teahupo’o, le mur de crânes.
"Trois femmes", de l'écrivain calédonien Nicolas Kurtovitch. Après, "L'amour des gens", l'auteur propose un recueil de nouvelles, "ce que l’ordinaire peut offrir de merveilleux." Des vies « sans défaite ni combat », dans tout ce que l’ordinaire peut offrir de merveilleux pour celui qui sait observer, ressentir et dire le moindre souffle, la plus infime palpitation. Nicolas Kurtovitch compose ici l’un de ses recueils les plus personnels où souvenirs, contes et réflexions poétiques s’entremêlent. Tisserand, il noue un à un les fils des mémoires et des instants vécus ou imaginaires pour nous dire l’importance d’être au monde en pleine conscience, de transmettre, de célébrer le pouvoir de la littérature et de l’humanité.
"Mauten" (montagne en tok pisin, langue véhiculaire de Papouasie-Nouvelle-Guinée), de l'auteure australienne Drusilla Modjeska, est un receuil de nouvelles en deux parties : l'une avec des Australiens et des Papous, à l'université, peu de temps avant l'indépendance. L'autre, après l'indépendance de la Papouasie-Nouvelle Guinée, suit un des personnages de retour en Australie. Destins croisés, mystères, secrets, intégrité, liens ambigus et grands questionnements… par le biais d’une superbe histoire d’amour et d’amitié qui commence peu avant l’accession de la Papouasie-Nouvelle Guinée à l’indépendance (1975) et se poursuit trente ans plus tard, Drusilla Modjeska explore les contradictions du colonialisme et du post-colonialisme, les difficultés à unifier ce pays aux huit-cents langues, et le décalage vertigineux entre fonctionnement coutumier et démocratie occidentale. Elle nous donne à écouter tous les acteurs, sans jamais simplifier.
Pour les plus jeunes, "Maeva peint", de Magdalena Guirao-Julien, illustré par Christine Davenier, raconte l'histoire d'une petite fille tête en l’air mais pleine d’envies. Elle passe son temps à peindre sur tout ce qui lui passe sous le pinceau et met finalement de la couleur dans la vie.
A partir de 3 ans.
Chez Retz, Magdalena a écrit les fameuses Petites Méthodes ainsi que plusieurs titres de la collection des Petits Cahiers pour les enfants qui veulent s’entraîner à écrire, à lire ou à calculer de manière ludique à la maison. Magdalena est aussi l’auteure de la collection à succès « Je suis en CP » aux éditions Père Castor Flammarion, qui propose des histoires adaptées aux enfants de CP afin de les accompagner dans leur apprentissage de la lecture (17 volumes parus à ce jour !). "La vague", d'Ingrid Astier, une des grandes voix féminines du polar français, est un roman noir. L'intrigue se déroule à Teahupoo, où chacun vient chercher l'aventure. Hiro est le surfeur légendaire de La Vague. Après sept ans d’absence, sa sœur Moea retrouve leur vallée luxuriante. Et Birdy, un ancien champion de surf brisé par le récif. Arrive Taj, un Hawaïen sous ice, qui pense que tout lui appartient.
Mais on ne touche pas impunément au paradis. Bienvenue en enfer. Ici c’est Teahupo’o, le mur de crânes.
"Trois femmes", de l'écrivain calédonien Nicolas Kurtovitch. Après, "L'amour des gens", l'auteur propose un recueil de nouvelles, "ce que l’ordinaire peut offrir de merveilleux." Des vies « sans défaite ni combat », dans tout ce que l’ordinaire peut offrir de merveilleux pour celui qui sait observer, ressentir et dire le moindre souffle, la plus infime palpitation. Nicolas Kurtovitch compose ici l’un de ses recueils les plus personnels où souvenirs, contes et réflexions poétiques s’entremêlent. Tisserand, il noue un à un les fils des mémoires et des instants vécus ou imaginaires pour nous dire l’importance d’être au monde en pleine conscience, de transmettre, de célébrer le pouvoir de la littérature et de l’humanité.
"Mauten" (montagne en tok pisin, langue véhiculaire de Papouasie-Nouvelle-Guinée), de l'auteure australienne Drusilla Modjeska, est un receuil de nouvelles en deux parties : l'une avec des Australiens et des Papous, à l'université, peu de temps avant l'indépendance. L'autre, après l'indépendance de la Papouasie-Nouvelle Guinée, suit un des personnages de retour en Australie. Destins croisés, mystères, secrets, intégrité, liens ambigus et grands questionnements… par le biais d’une superbe histoire d’amour et d’amitié qui commence peu avant l’accession de la Papouasie-Nouvelle Guinée à l’indépendance (1975) et se poursuit trente ans plus tard, Drusilla Modjeska explore les contradictions du colonialisme et du post-colonialisme, les difficultés à unifier ce pays aux huit-cents langues, et le décalage vertigineux entre fonctionnement coutumier et démocratie occidentale. Elle nous donne à écouter tous les acteurs, sans jamais simplifier.