Jeudi 8 janvier, jour de deuil national. Les drapeaux sont en berne après l'attaque terroriste d'hier. Contre un journal, contre des journalistes, ceux de Charlie Hebdo. Partout en Polynésie, une minute de silence a été observée. Dans les services de l’Etat, et bien au-delà.
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Dès hier soir, des centaines de personnes se sont réunies dans le calme, place Tarahoi, à Papeete pour exprimer leur solidarité et leur refus de céder au terrorisme.
A midi, au haut-commissariat, à la DSP, dans les mairies et peut-être aussi dans les entreprises, les gens ont observé une minute de silence en hommage aux victimes de l'attentat perpétré dans les locaux du journal Charlie Hebdo.
Anonymes, journalistes, politiques, policiers tous sous la même bannière, « Je suis Charlie ».
Au même moment, une minute de silence a aussi été observée ce jour par le personnel de la Présidence. Les drapeaux de la Présidence et des services du Pays sont également en berne.
Et avant Papeete, c’était au tour, ce matin, de la commune de Uturoa, à Raiatea. 200 personnes se sont retrouvées, à 8h, sur le parvis du marché.
Ecoutez la maire de Uturoa :
A midi, au haut-commissariat, à la DSP, dans les mairies et peut-être aussi dans les entreprises, les gens ont observé une minute de silence en hommage aux victimes de l'attentat perpétré dans les locaux du journal Charlie Hebdo.
Charlie hebdo : minute de silence
Anonymes, journalistes, politiques, policiers tous sous la même bannière, « Je suis Charlie ».
Au même moment, une minute de silence a aussi été observée ce jour par le personnel de la Présidence. Les drapeaux de la Présidence et des services du Pays sont également en berne.
Et avant Papeete, c’était au tour, ce matin, de la commune de Uturoa, à Raiatea. 200 personnes se sont retrouvées, à 8h, sur le parvis du marché.
Ecoutez la maire de Uturoa :
Charlie hebdo : une minute de silence, par delà les services de l'Etat