Alors que les autorités et la population se mobilisent pour tenter de stopper l'épidémie de chikungunya, une internaute a publié sur Facebook des photos d'une piscine dont l'eau stagnante est un véritable gîte à moustiques. A méditer...
Depuis quelques jours, l'internaute en question a posté des photos qui montrent une piscine dont l'eau verdâtre ne laisse aucun doute sur son utilisation. Apparemment, ce sont davantage les moustiques que les gens qui en profitent ! Il est très facile d'imaginer que c'est devenu une écloserie de ces insectes piqueurs et vecteurs du virus du chikungunya. Selon l'internaute, cela se passe "à l'immeuble Hibiscus de Punavai nui où la piscine est en arrêt depuis plus d'un an... croyez moi il y a vraiment des promoteurs qui n'en ont rien à cirer de notre santé. Merci c'est très urgent. Car j'y habite. Et nous avons signalé au gestionaire, mais rien a faire."
Si personne ne bouge, l'internaute préfère diffuser cette information sur les réseaux sociaux pour alerter un maximum de gens. Mais il est dommage que lorsque les autorités prennent les mesures pour éradiquer la propagation du chikungunya par des pulvérisations, ou qu'elles incitent les gens à dégîter, la négligence de quelques uns contrebalance ces efforts.
Aujourd'hui, il y a 252 cas confirmés de chikungunya. Et 502 cas suspects : ce sont les derniers chiffres officiels de l’épidémie. Heureusement, peu d'hospitalisation à ce jour. Moins d'une dizaine de Polynésiens ont du être admis au CHPF.
A Mahina, un 3e cas de chikungunya a été détecté hier. En fonction de la météo de ce matin, la mairie de Mahina doit procéder à des pulvérisations de delthamétrine, à deux endroits : au lotissement Fareroi et dans la vallée Tuauru à partir de l'église adventiste. Une deuxième pulvérisation est prévue vendredi prochain toujours dans les mêmes secteurs.
Si personne ne bouge, l'internaute préfère diffuser cette information sur les réseaux sociaux pour alerter un maximum de gens. Mais il est dommage que lorsque les autorités prennent les mesures pour éradiquer la propagation du chikungunya par des pulvérisations, ou qu'elles incitent les gens à dégîter, la négligence de quelques uns contrebalance ces efforts.
Aujourd'hui, il y a 252 cas confirmés de chikungunya. Et 502 cas suspects : ce sont les derniers chiffres officiels de l’épidémie. Heureusement, peu d'hospitalisation à ce jour. Moins d'une dizaine de Polynésiens ont du être admis au CHPF.
A Mahina, un 3e cas de chikungunya a été détecté hier. En fonction de la météo de ce matin, la mairie de Mahina doit procéder à des pulvérisations de delthamétrine, à deux endroits : au lotissement Fareroi et dans la vallée Tuauru à partir de l'église adventiste. Une deuxième pulvérisation est prévue vendredi prochain toujours dans les mêmes secteurs.