Et si Tahiti participait à la Coupe du monde en 2026 ? Ce n'est plus une utopie depuis que la FIFA a décidé de passer de 32 à 48 le nombre d'équipes qui participeront à la compétition à partir de 2026.
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C''est une révolution dans le monde du football. Une révolution actée par la FIFA. La Coupe du monde de football va passer de 32 à 48 équipes à partir de l’édition 2026. Ainsi en a décidé, ce mard 10 janvier, le Conseil de la FIFA, validant la proposition défendue par le président Gianni Infantino.
Cette ouverture pourrait profiter aux petits pays comme Tahiti ou encore la Nouvelle-Calédonie. Il n'est désormais plus utopique de penser que Tahiti pourrait participer à la Coupe du monde de 2026.
En 2026, il y aura 16 groupes de 3, les deux premiers se qualifieront pour les 16ème de finale. Le nombre total de matchs va aussi augmenter passant de 64 à 80. Ils auront lieu sur 32 jours.
Cette ouverture pourrait profiter aux petits pays comme Tahiti ou encore la Nouvelle-Calédonie. Il n'est désormais plus utopique de penser que Tahiti pourrait participer à la Coupe du monde de 2026.
coupe du monde
En 2026, il y aura 16 groupes de 3, les deux premiers se qualifieront pour les 16ème de finale. Le nombre total de matchs va aussi augmenter passant de 64 à 80. Ils auront lieu sur 32 jours.
Plus d'argent
Si cette Coupe du monde à 48 vise à donner plus d'exposition à la compétition et d'intégrer de petits pays, le principal intérêt de réforme est aussi, et surtout, financier : elle permettra de générer 640 millions de dollars de revenus supplémentaires par rapport aux prévisions du Mondial 2018 en Russie , selon un rapport confidentiel de la FIFA consulté par l'AFP. Sans compter la hausse des droits de télévision (505 millions de dollars de plus) et des recettes marketing (370 millions).
Néanmoins, elle induira aussi des coûts supplémentaires. Du coup, Gianni Infantino s'est dit favorable à "une coorganisation" de l'évènement par plusieurs pays, comme cela a été décidé pour les Jeux Olympiques de 2020.
Néanmoins, elle induira aussi des coûts supplémentaires. Du coup, Gianni Infantino s'est dit favorable à "une coorganisation" de l'évènement par plusieurs pays, comme cela a été décidé pour les Jeux Olympiques de 2020.