Le gouvernement vient de publier les chiffres de la représentativité des organisations syndicales de salariés en Polynésie. La CSTP/FO est toujours largement en tête et représente 33,36% des salariés.
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Les articles Lp. 2221-2 et Lp. 2221-3 du Code du travail disposent que, pour pouvoir bénéficier de la représentativité au niveau de la Polynésie française, toute organisation syndicale de salariés ou toute union syndicale de salariés doit avoir obtenu, au cours des deux dernières années, une moyenne de voix aux élections des délégués du personnel, titulaires et suppléants, supérieure à 5 % du nombre de voix exprimées.
Après validation des voix exprimées, le conseil des ministres a adopté un arrêté se rapportant à la représentativité des organisations syndicales de salariés comme suit :
- CSTP/FO remporte 11 955, 5 voix, soit 33, 36% des voix,
- A Ti’a i mua remporte 6 518, 5 voix, soit 19, 15% des voix,
- La CSIP obtient 6 286 voix, soit 18, 47% des voix,
- Otahi remporte 3 946 voix,
- Et enfin le syndicat anciennement présidé par Ronald Terorotua obtient 3 244 voix.
C’est sur la base de ces résultats que le conseil des ministres validera ensuite notamment le montant des subventions de fonctionnement versées aux centrales syndicales. Le critère retenu est celui du nombre des délégués du personnel et des représentants élus aux comités d’entreprises, titulaires et suppléants, obtenu au cours des deux dernières années.
En 2016, les subventions s’élevaient à 19 millions cfp.
Après validation des voix exprimées, le conseil des ministres a adopté un arrêté se rapportant à la représentativité des organisations syndicales de salariés comme suit :
- CSTP/FO remporte 11 955, 5 voix, soit 33, 36% des voix,
- A Ti’a i mua remporte 6 518, 5 voix, soit 19, 15% des voix,
- La CSIP obtient 6 286 voix, soit 18, 47% des voix,
- Otahi remporte 3 946 voix,
- Et enfin le syndicat anciennement présidé par Ronald Terorotua obtient 3 244 voix.
C’est sur la base de ces résultats que le conseil des ministres validera ensuite notamment le montant des subventions de fonctionnement versées aux centrales syndicales. Le critère retenu est celui du nombre des délégués du personnel et des représentants élus aux comités d’entreprises, titulaires et suppléants, obtenu au cours des deux dernières années.
En 2016, les subventions s’élevaient à 19 millions cfp.