Ils sont 57 représentants juniors, venus des écoles des quatre coins de la Polynésie pour présenter leurs propositions de délibération. Ils en ont deux : le cyber-harcèlement et le tri des déchets dans les écoles. Un travail de longue haleine pour ces futurs citoyens.
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Ils sont 57 élèves issus des écoles élémentaires des cinq archipels de Polynésie. Ils ont été choisis pour porter la voix de leurs camarades. Depuis deux mois, ils travaillent sur deux propositions de délibération qu'ils ont présentées à l'Assemblée de Polynésie française ce 3 avril : le cyber-harcèlement, présenté par les CM2 de l'école Nahoata. "Dans notre classe, 8 élèves sur 10 ont été harcelés et 6 d'entre eux n'ont pas trouvé d'aide auprès d'un membre de leur famille ou de l'équipe éducative." Les représentants juniors proposent donc un livret d'utilisation que les parents pourraient renseigner avec leurs enfants, sur le temps de connexion et les contenus consultés. Ils proposent également la mise en place d'un numéro vert pour écouter et conseiller.
Une autre proposition porte sur le tri des déchets dans les écoles.
Ces textes sont fictifs et ne seront pas étudiés par leurs aînés. Cela vise surtout à préparer les citoyens de demain en les familiarisant avec les institutions du Pays. Ce matin, ils étaient accompagnés des représentants Moetai Brotherson, Chantal Galenon, Joëlle Frébault et Sylvana Puhetini.
L'opération « Assemblée de Représentants Juniors de la Polynésie Française » a lieu tous les deux ans depuis 2012, car cela leur demande un lourd de travail de préparation.
Une autre proposition porte sur le tri des déchets dans les écoles.
Ces textes sont fictifs et ne seront pas étudiés par leurs aînés. Cela vise surtout à préparer les citoyens de demain en les familiarisant avec les institutions du Pays. Ce matin, ils étaient accompagnés des représentants Moetai Brotherson, Chantal Galenon, Joëlle Frébault et Sylvana Puhetini.
L'opération « Assemblée de Représentants Juniors de la Polynésie Française » a lieu tous les deux ans depuis 2012, car cela leur demande un lourd de travail de préparation.