Cela faisait 10 ans que les artistes du fenua attendaient une structure juridique. C’est chose faite. Mise en place en mai 2018, la Sacem Polynésie, qui compte plus 500 adhérents, fait en sorte que toute diffusion de musique dans un espace public soit soumise à une redevance.
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C’est la mission de la Sacem Polynésie. Depuis mai 2018, date d'ouverture de cette structure réclamée par les artistes du fenua depuis des années, les hôtels, restaurants, bars, boites de nuit, snacks, salons de coiffure ou autres structures diffusant de la musique doivent payer des droits de diffusion.
Mais, pas tout le monde est au courant de cette mesure. La Sacem organise des visites auprès des commerçants afin de les informer. Même si ce n'est pas toujours facile, les commerçants restent ouverts. "Une fois qu'on explique bien le rôle de la Sacem Polynésie et surtout la protection de nos auteurs compositeurs locaux, les gens se sensibilisent assez facilement", explique Virginie Bruant, directrice de la Sacem Polynésie.
Mais, pas tout le monde est au courant de cette mesure. La Sacem organise des visites auprès des commerçants afin de les informer. Même si ce n'est pas toujours facile, les commerçants restent ouverts. "Une fois qu'on explique bien le rôle de la Sacem Polynésie et surtout la protection de nos auteurs compositeurs locaux, les gens se sensibilisent assez facilement", explique Virginie Bruant, directrice de la Sacem Polynésie.
Interview
Diffuser de la musique oui mais il faut payer