Les 31 candidates, choisies pour représenter les régions de France métropolitaine et d’outre-mer, sont en effet invitées à séjourner pour une semaine dans un endroit du monde qui, à l’instar de leur image, est synonyme de rêve et de beauté. Cette fois-ci, c'est la Polynésie.
E.Tang / Gouvernement •
Le séjour de ces jeunes femmes ne durera qu'une semaine, du 22 novembre au 1er décembre prochain, mais il sera bien chargé. C’est à Tahiti et Moorea que les candidates, dont notre Miss Tahiti 2015, résideront et devront se démarquer auprès du comité Miss France et des journalistes conviés. Une « épreuve » qui compte pour leur classement dans le concours à la succession de Camille Cerf, actuelle Miss France. A l’arrivée, les candidates et leurs accompagnateurs seront évidemment accueillies à la polynésienne. Un accueil notamment assuré par le groupe de danse de Makau.
Programme chargé
Le lundi 23 novembre, un événement est prévu, de 17h à 19h30, dans les jardins de Paofai. Le mardi 24 novembre, une soirée avec ambiance musicale est programmée dans un restaurant de la côte ouest de Tahiti. En dehors de cela, les candidates devront se prêter à des séances photos et des vidéos les mettant en scène lors d’activités et de divers tableaux dans des paysages polynésiens. Ces vidéos et photos seront diffusées lors de la soirée de l’élection nationale.
Presse nationale
Pendant tout leur séjour, les candidates seront entourées par 4 membres du comité Miss France et 30 membres de l’équipe de production et l’équipe technique. En outre,15 journalistes et photographes (presse écrite et digitale) seront chargés de couvrir l’ensemble de l’événement. Les médias prévus sont notamment TF1, Paris Match, Le Parisien, Métro, TV mag, Public, 50 minutes inside, La Voix du nord, ou encore Sipa Presse.Le comité du concours de beauté Miss France s’est rapproché du GIE Tahiti Tourisme et d’Air Tahiti Nui afin de conclure un partenariat pour l’édition Miss France 2016. Tahiti Tourisme et Air Tahiti ont donc travaillé avec le comité Miss France afin de faire venir les 33 candidates, toutes Miss régionales, en Polynésie française.