Le PDG de la Dépêche de Tahiti, Dominique Auroy, était l’invité du journal. Il est revenu sur la grève qui paralyse l’impression du premier quotidien du pays.
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« Notre imprimerie a 60 ans. Nous avons deux options. Sous-traiter l’impression du journal ou moderniser l’imprimerie. Cette option n’est pas retenue aujourd’hui ».
« Je ne connaissais pas la presse. C’est un métier que j’ai découvert et qui est passionnant ».
Concernant la mauvaise réputation qui lui colle à la peau, Dominique Auroy a déclaré : « nous vivons dans un petit pays, j’ai créé plus de 2 000 emplois en 50 ans. Quand on avance, même quand on fait attention, on risque de marcher sur quelques pieds. J’ai sûrement dérangé beaucoup de monde ».
« Je ne connaissais pas la presse. C’est un métier que j’ai découvert et qui est passionnant ».
Concernant la mauvaise réputation qui lui colle à la peau, Dominique Auroy a déclaré : « nous vivons dans un petit pays, j’ai créé plus de 2 000 emplois en 50 ans. Quand on avance, même quand on fait attention, on risque de marcher sur quelques pieds. J’ai sûrement dérangé beaucoup de monde ».
Dominique Auroy : « En 50 ans, j’ai sûrement dérangé beaucoup de monde »