Ne l’appelez plus CGPME mais CPME, ce qui signifie : Confédération des petites et moyennes entreprises de Polynésie Française.
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Jeudi 12 octobre, en assemblée générale, les adhérents ont validé le changement de nom et de logo et ont également élu un nouveau président. Après la démission de Sébastien Buzard c’est Christophe Plée qui revient aux commandes.
Sébastien Buzard a été élu en octobre 2016. Pendant son mandat, il était également gérant de la société « Tahiti logiciel », mais il avait du mal à gérer les deux fonctions. Il a donc décidé de ne se consacrer qu’à son entreprise.
Christophe Plée, quant à lui, a été à la tête de la confédération pendent neuf ans et en était le vice président depuis l’année dernière.
Ce qui change pour lui c’est que cette fois, il va se faire épauler.
La CPME représente en Polynésie 741 adhérents soit plus de 8 000 salariés. Parmi ses projets, il y a l’organisation, en 2018, des Pacific business days avec les acteurs économiques de la région.
Teva Rohfritsch a participé à cette assemblée générale de la CPME. Le vice-président estime qu’il est nécessaire d’entretenir le dialogue avec les entreprises.
La Conférence économique aura lieu le 24 octobre.
Sébastien Buzard a été élu en octobre 2016. Pendant son mandat, il était également gérant de la société « Tahiti logiciel », mais il avait du mal à gérer les deux fonctions. Il a donc décidé de ne se consacrer qu’à son entreprise.
Christophe Plée, quant à lui, a été à la tête de la confédération pendent neuf ans et en était le vice président depuis l’année dernière.
Ce qui change pour lui c’est que cette fois, il va se faire épauler.
Christophe Plée au micro de Gilles Tautu
La CPME représente en Polynésie 741 adhérents soit plus de 8 000 salariés. Parmi ses projets, il y a l’organisation, en 2018, des Pacific business days avec les acteurs économiques de la région.
Teva Rohfritsch a participé à cette assemblée générale de la CPME. Le vice-président estime qu’il est nécessaire d’entretenir le dialogue avec les entreprises.
Teva Rohfritch au micro de Gilles Tautu
Du changement à la CGPME