Les propriétaires proches de la rivière Punaruu, et les associations de protection de l'environnement, veulent que les berges soient enrochées à l'annonce de l'arrivée d'El Nino. Néanmoins, ils demandent que l'entreprise en charge du curage soit sous surveillance.
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Charles Maoni fait partie des quelques dizaines de riverains qui jouxtent la rivière: "Nous, nous ne sommes plus protégés, par une zone de soutènement. De l'autre côté c'est enroché, mais pas chez moi ! La vallée de la Punaruu commence là haut sur la montagne, là où on ramasse les oranges. On parle des oranges, c'est joli, mais qui se soucie de notre sort ?"
Même inquiétude dans la maison de Marceline Dexter, qui habite à l'embouchure de la Punaruu: "nous avons multiplié les demandes pour être enrochés. Nous avons perdu de la terre à cause de la houle, mais il y aussi eu des extractions régulières. Avec El Nino qui arrive, nous allons encore perdre de la terre".
Selon Paul Pere, responsable du littoral et des fonds de vallées mairie de Punaauia, "Il faut du curage mais en faisant du suivi. L'enrochement permettra aussi de protéger les habitants".
Même inquiétude dans la maison de Marceline Dexter, qui habite à l'embouchure de la Punaruu: "nous avons multiplié les demandes pour être enrochés. Nous avons perdu de la terre à cause de la houle, mais il y aussi eu des extractions régulières. Avec El Nino qui arrive, nous allons encore perdre de la terre".
Selon Paul Pere, responsable du littoral et des fonds de vallées mairie de Punaauia, "Il faut du curage mais en faisant du suivi. L'enrochement permettra aussi de protéger les habitants".
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