Le Tota Tour est un peu comme les pièces jaunes en métropole. Un beau moment de fraternité. Depuis deux semaines, les élèves du collège Tiarama se sont mobilisés pour apporter leur aide aux enfants atteints de Trisomie 21 et faire que le Tota Tour soit une réussite.
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Le Tota Tour a décidé d’innover pour recueillir des pièces de 1 franc afin d'aider le Centre Papa nui qui s’occupe des enfants atteints de trisomie 21.
Fini donc le Tota Tour en truck pour aller collecter les fameuses pièces. Le Tota Tour, c’est désormais également du sport avec du Beach Soccer samedi 23 mars au parc Paofai. Plusieurs entreprises ont accepté de jouer le jeu avec les enfants malades. Stéphane Marandin, directeur du centre Papa Nui, revient sur cette nouvelle méthode de récolte de fonds.
Au collège Tiarama, de jeunes collégiens sont mobilisés depuis deux semaines pour que le Tota tour soit une réussite. En plus de l'urne mise à disposition, certains élèves se sont rendus au Centre. L'idée consiste à permettre aux élèves de découvrir un handicap et d'aborder le thème de la différence en mettant l'accent sur l'acceptation de celle-ci.
"Au départ c'était un projet de sensibilisation (...) Certains élèves sont allés au centre Papa Nui passer du temps en immersion avec ces enfants. Aujourd'hui, nous accueillons le centre au collège", explique Yann Atger, directeur du collège adventiste Tiarama.
Fini donc le Tota Tour en truck pour aller collecter les fameuses pièces. Le Tota Tour, c’est désormais également du sport avec du Beach Soccer samedi 23 mars au parc Paofai. Plusieurs entreprises ont accepté de jouer le jeu avec les enfants malades. Stéphane Marandin, directeur du centre Papa Nui, revient sur cette nouvelle méthode de récolte de fonds.
Interview
Au collège Tiarama, de jeunes collégiens sont mobilisés depuis deux semaines pour que le Tota tour soit une réussite. En plus de l'urne mise à disposition, certains élèves se sont rendus au Centre. L'idée consiste à permettre aux élèves de découvrir un handicap et d'aborder le thème de la différence en mettant l'accent sur l'acceptation de celle-ci.
"Au départ c'était un projet de sensibilisation (...) Certains élèves sont allés au centre Papa Nui passer du temps en immersion avec ces enfants. Aujourd'hui, nous accueillons le centre au collège", explique Yann Atger, directeur du collège adventiste Tiarama.