Neuf stagiaires en formation boucherie quasi assurés de trouver un emploi à l'issue de leur pratique. Mises en place par le Service de l'emploi, ces formations répondent aux besoins directs des entreprises. Et le métier de boucher est plein de subtilités...
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La boucherie, c’est tout un art...Dans une semaine, neuf stagiaires vont passer leur examen pour en faire leur métier. Après 5 mois d’un apprentissage pratique et théorique, avec la CCISM et le SEFI.
Longe, côtes, filet mignon, autant de mots pour qualifier les morceaux de l’animal qu’il faut connaître par coeur. Et leur tuteur de stage vérifie sans cesse leurs acquis. Car la boucherie est avant tout un métier technique.
Cette formation ponctuelle leur a permis de ne pas aller en métropole pour apprendre le métier. Et à l'issue, tous travailleront au fenua, comme l'espère Manuarii Ariipeu : « J’ai saisi cette opportunité, puis ça m’a permis de rester ici et de justement faire cette formation ici. En plus je suis rémunéré. Et si je travaille bien, mon poste à la sortie est assuré quoi. » Et cela dans les grandes surfaces de l’île. Boucher dans la filière tradition, c’est-à-dire derrière le comptoir en contact avec les clients, ou dans la filière self-service en proposant de la viande découpée et emballée.
Le SEFI met en place ces formations et les supprime au fur et à mesure des besoins, afin de ne pas saturer le marché de l’emploi. Le but est de former les jeunes et ensuite d’assurer leur insertion.
Les prochaines formations du SEFI devraient encore toucher les métiers de bouche : traiteur ou bien poissonnier.
Longe, côtes, filet mignon, autant de mots pour qualifier les morceaux de l’animal qu’il faut connaître par coeur. Et leur tuteur de stage vérifie sans cesse leurs acquis. Car la boucherie est avant tout un métier technique.
Cette formation ponctuelle leur a permis de ne pas aller en métropole pour apprendre le métier. Et à l'issue, tous travailleront au fenua, comme l'espère Manuarii Ariipeu : « J’ai saisi cette opportunité, puis ça m’a permis de rester ici et de justement faire cette formation ici. En plus je suis rémunéré. Et si je travaille bien, mon poste à la sortie est assuré quoi. » Et cela dans les grandes surfaces de l’île. Boucher dans la filière tradition, c’est-à-dire derrière le comptoir en contact avec les clients, ou dans la filière self-service en proposant de la viande découpée et emballée.
Le SEFI met en place ces formations et les supprime au fur et à mesure des besoins, afin de ne pas saturer le marché de l’emploi. Le but est de former les jeunes et ensuite d’assurer leur insertion.
Les prochaines formations du SEFI devraient encore toucher les métiers de bouche : traiteur ou bien poissonnier.