L'actualité reste dominée par les frappes américaines en Syrie, après les bombardements chimiques attribués par beaucoup d'observateurs à l'armée syrienne. Les touristes américains sont présents dans nos hôtels et nous avons voulu savoir comment ils réagissaient à cette initiative de Trump.
•
Dans la quiétude des halls d’hôtels polynésiens, si les Américains se reconnaissent facilement de part leur look, ils sont loin de penser tous de la même façon suite à ces bombardements en Syrie.
Pour certains : "Trump a bien fait. Il fallait arrêter ces attaques chimiques qui font tant de victimes innocentes, et empêcher que de telles mauvaises actions se reproduisent ".
Pour d'autres : " Nous ne connaissons pas encore avec précisions les auteurs de ces attaques chimiques, et le bombardement d’hier me semble trop radical. Je regrette ce genre d’action. C’est inquiétant car après les interventions en Irak et en Afghanistan, je désapprouve d’aller en Syrie".
Quoiqu'il en soit, beaucoup d’Américains ont dû être surpris hier. Pendant sa campagne, Trump avait affirmé vouloir concentrer ses efforts sur les enjeux intérieurs, et pas trop intervenir dans les pays étrangers. Les fans du président doivent se poser pas mal de questions.
Seul point commun entre ces touristes, le sentiment de ne pas être plus menacés qu’avant, surtout dans un endroit aussi excentré et paisible que la Polynésie.
Pour certains : "Trump a bien fait. Il fallait arrêter ces attaques chimiques qui font tant de victimes innocentes, et empêcher que de telles mauvaises actions se reproduisent ".
Pour d'autres : " Nous ne connaissons pas encore avec précisions les auteurs de ces attaques chimiques, et le bombardement d’hier me semble trop radical. Je regrette ce genre d’action. C’est inquiétant car après les interventions en Irak et en Afghanistan, je désapprouve d’aller en Syrie".
Quoiqu'il en soit, beaucoup d’Américains ont dû être surpris hier. Pendant sa campagne, Trump avait affirmé vouloir concentrer ses efforts sur les enjeux intérieurs, et pas trop intervenir dans les pays étrangers. Les fans du président doivent se poser pas mal de questions.
Seul point commun entre ces touristes, le sentiment de ne pas être plus menacés qu’avant, surtout dans un endroit aussi excentré et paisible que la Polynésie.
/outremer/2024/12/27/chapo-articles-70-676e3896c2963358272019.png)
/outremer/2024/12/27/chapo-articles-68-676e31426fcf5026172551.png)
/outremer/2024/12/27/chapo-articles-67-676e1d1276461655576014.png)
