Dans un communiqué, l'association des parents d'élèves de Papeete répond aux accusations portées à son encontre par la Confédération des syndicats indépendants de Polynésie.
•
Ce sont des propos tenus par Cyril Legayic, directeur général des services de la Confédération des syndicats indépendants de Polynésie (CSIP) qui ont fait sursauter les membres de l'Association des parents d'élèves (APE) de Papeete.
Dans un courrier adressé à la Direction de la cuisine centrale, les syndicalistes se disent "outrés de constater que vous (la direction ndlr) rétribuez une partie des résultats aux Associations des parents d'élèves (APE), alors que ces dernières ont plombé la Cuisine centrale, depuis des années, par les retards et les non paiements des coûts des repas fournis par la Cuisine", avant d'estimer les factures impayées des membres de l'APE à plus de "10 millions cfp".
De plus, selon le syndicat, les parents d'élèves réaliseraient un bénéfice sur la vente des plats aux primaires et aux maternelles. La cuisine centrale vendrait ses plats entre 365 et 370 cfp et les parents d'élèves les revendraient de 500 à 800 cfp.
Suite à ces accusations, l'Association des parents d'élèves de Papeete n'a pas tardé à répondre. Dans son communiqué, elle estime que la restauration scolaire constitue une mission de service public, par définition juridique, ses prix seraient donc "nettement inférieurs à ceux du marché".
Dans un courrier adressé à la Direction de la cuisine centrale, les syndicalistes se disent "outrés de constater que vous (la direction ndlr) rétribuez une partie des résultats aux Associations des parents d'élèves (APE), alors que ces dernières ont plombé la Cuisine centrale, depuis des années, par les retards et les non paiements des coûts des repas fournis par la Cuisine", avant d'estimer les factures impayées des membres de l'APE à plus de "10 millions cfp".
De plus, selon le syndicat, les parents d'élèves réaliseraient un bénéfice sur la vente des plats aux primaires et aux maternelles. La cuisine centrale vendrait ses plats entre 365 et 370 cfp et les parents d'élèves les revendraient de 500 à 800 cfp.
Suite à ces accusations, l'Association des parents d'élèves de Papeete n'a pas tardé à répondre. Dans son communiqué, elle estime que la restauration scolaire constitue une mission de service public, par définition juridique, ses prix seraient donc "nettement inférieurs à ceux du marché".
Lisez le communiqué dans son intégralité