La grève à la cuisine centrale est effective depuis minuit, ce jeudi 23 novembre, à l'appel de la CSIP. Sur les 28 salariés de la cuisine centrale 17 sont grévistes, selon la CSIP. Du coup, la livraison des plateaux repas pour la cantine des élèves se fait au compte-gouttes et avec du retard.
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Faute d'accord, la grève est donc effective depuis minuit. De nouvelles négociations étaient prévues à 11h, ce jeudi. Mais, ce qui pose aujourd'hui problème est la distribution des repas aux 4900 petits élèves de Papeete et d’Arue. La cuisine centrale compte 28 salariés dont 17 sont grévistes, selon la CSIP. La majorité sont des chauffeurs-livreurs.
Résultat : la livraison des plateaux repas se fait au compte-gouttes et avec du retard. Un piquet de grève filtre les entrées et sorties des chauffeurs livreurs. "Notre objectif est de bloquer tout prestataire venant livrer pour les écoles (...) Tant qu'on n'a pas eu un protocole d'accord, on ne lâchera rien", explique Layton Warei, chauffeur livreur, délégué du personnel CSIP.
Les revendications portent principalement les salaires et les conditions de travail. Tepuanui Snow, le président de la Fédération des Associations de Parents d’Elèves, dénonce la situation même s'il comprend les revendications. "Je ne suis pas d'accord qu'on vienne mélanger des histoires de salaire et la cantine de nos enfants", explique-t-il.
Résultat : la livraison des plateaux repas se fait au compte-gouttes et avec du retard. Un piquet de grève filtre les entrées et sorties des chauffeurs livreurs. "Notre objectif est de bloquer tout prestataire venant livrer pour les écoles (...) Tant qu'on n'a pas eu un protocole d'accord, on ne lâchera rien", explique Layton Warei, chauffeur livreur, délégué du personnel CSIP.
Interview
Les revendications portent principalement les salaires et les conditions de travail. Tepuanui Snow, le président de la Fédération des Associations de Parents d’Elèves, dénonce la situation même s'il comprend les revendications. "Je ne suis pas d'accord qu'on vienne mélanger des histoires de salaire et la cantine de nos enfants", explique-t-il.
Interview
Grève de la cuisine centrale, des repas au compte gouttes