Les grévistes de trois des six stations Total de Tahiti à être en grève sont assignés devant le tribunal civil, ce lundi 10 septembre, par la société Atea, qui demande le retrait des piquets de grève. Selon elle, ces piquets empêchent les clients de se ravitailler.
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La grève se poursuit dans six des sept stations-service Total de Tahiti. Elle a débuté jeudi dernier, le 6 septembre.
Selon Gisèle Teheiura, déléguée syndicale de la CSIP, le mouvement est suivi par près de 90% du personnel.
Elle indique aussi, au micro d'Abinera Tematahotoa, que les grévistes des stations de Mamao, Hamuta et Heiri sont assignés en justice, ce lundi 10 septembre, par l'entreprise Atea, qui gère les stations Total.
Les grévistes réclament de meilleures conditions de travail, l’instauration d’un comité des salaires, la mise à disposition de tabourets pour les caissiers qui sont debout 8 à 10h par jour, le paiement des heures supplémentaires et une prime de panier de 350 Fcfp par jour.
En tout, il y a une quinzaine de revendications, toutes rejetées par la direction de Atea.
Pour le moment, aucune rencontre n'est prévue avec la direction.
Selon Gisèle Teheiura, déléguée syndicale de la CSIP, le mouvement est suivi par près de 90% du personnel.
Elle indique aussi, au micro d'Abinera Tematahotoa, que les grévistes des stations de Mamao, Hamuta et Heiri sont assignés en justice, ce lundi 10 septembre, par l'entreprise Atea, qui gère les stations Total.
"La société leur demande de retirer les piquets de grève."
Les grévistes réclament de meilleures conditions de travail, l’instauration d’un comité des salaires, la mise à disposition de tabourets pour les caissiers qui sont debout 8 à 10h par jour, le paiement des heures supplémentaires et une prime de panier de 350 Fcfp par jour.
En tout, il y a une quinzaine de revendications, toutes rejetées par la direction de Atea.
Pour le moment, aucune rencontre n'est prévue avec la direction.