Ce vendredi 25 septembre, le secrétaire général du Haut-commissariat a présidé une cérémonie organisée au Monument aux Morts de Papeete à l'occasion de la Journée nationale d'hommage aux Harkis et aux autres membres des formations supplétives de la guerre d'Algérie.
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Eric Requet, secrétaire général du Haut-commissariat, a représenté le Haut-commissaire de la République, ce vendredi matin, lors de la cérémonie organisée au Monument aux Morts de Papeete à l'occasion de la Journée nationale d'hommage aux Harkis et aux autres membres des formations supplétives de la guerre d'Algérie. Etaient également présents des personnalités du Pays, comme le ministre de la Santé, Jacques Raynal, ou encore Lana Tetuanui, sénatrice de la Polynésie française.
Chaque 25 septembre, la République rend hommage aux anciens harkis et aux membres des formations supplétives qui ont combattu pour la France lors de la guerre d’Algérie. "Cette période de notre histoire reste une plaie ouverte dans nos mémoires collectives. Depuis plusieurs années, la France, par la voix de ses plus hautes autorités, a reconnu avoir manqué à son devoir de protection et d'acceuil. Cette reconnaissance, nous la renouvelons aujourd'hui de même que l'hommage aux combattants. Nous souhaitons que l'histoire des Harkis, ainsi que celle de leurs enfants, y compris celle de leur accueil, soit mieux connue, reconnue et davantage transmise" a déclaré le secrétaire général du Haut-commissariat.
Chaque 25 septembre, la République rend hommage aux anciens harkis et aux membres des formations supplétives qui ont combattu pour la France lors de la guerre d’Algérie. "Cette période de notre histoire reste une plaie ouverte dans nos mémoires collectives. Depuis plusieurs années, la France, par la voix de ses plus hautes autorités, a reconnu avoir manqué à son devoir de protection et d'acceuil. Cette reconnaissance, nous la renouvelons aujourd'hui de même que l'hommage aux combattants. Nous souhaitons que l'histoire des Harkis, ainsi que celle de leurs enfants, y compris celle de leur accueil, soit mieux connue, reconnue et davantage transmise" a déclaré le secrétaire général du Haut-commissariat.