C'est un bras de fer qui doit durer au moins quatre années. La demande de défusion des communes de Hitia'a o te Ra n'a pas les faveurs des services de l'Etat, mais est portée par la volonté inébranlable des élus.
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Après les deux votes du conseil municipal et l'appui presque unanime de la population, un rapport signé par un commissaire enquêteur vient d'émettre un avis négatif, avançant notamment le coût budgétaire pour les communes concernées.
Lors une conférence de presse ce matin, Jacqui Drollet, maire délégué de Hitia’a, a contesté l’ensemble des points avancés par le rapport, rappelant que la demande est exprimée depuis 1995 et n’est donc pas motivée par les remous politiques actuels dans la commune. Pour lui la récente loi défendue au Sénat par Madame Tetuanui n’est qu’une manœuvre visant à contrarier les demandes en cours de défusion en Polynésie française. Jacqui Drollet affirme que la sénatrice n’est que la « mère porteuse » d’un texte concocté par les services de l’Etat.
Lors une conférence de presse ce matin, Jacqui Drollet, maire délégué de Hitia’a, a contesté l’ensemble des points avancés par le rapport, rappelant que la demande est exprimée depuis 1995 et n’est donc pas motivée par les remous politiques actuels dans la commune. Pour lui la récente loi défendue au Sénat par Madame Tetuanui n’est qu’une manœuvre visant à contrarier les demandes en cours de défusion en Polynésie française. Jacqui Drollet affirme que la sénatrice n’est que la « mère porteuse » d’un texte concocté par les services de l’Etat.
La défusion de Hitia’a o te Ra dès 2018 ?