Le Haut-commissaire annonce dans un communiqué de presse, ce mercredi 15 février, que les 36 millions de fcp du Fonds d’extrême urgence, décidés par l’Etat, ont été entièrement consommés pour venir en aide aux sinistrés par les intempéries
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Suite aux intempéries qui ont fait des dégâts à Tahiti et Moorea, l’Etat a débloqué un Fonds de secours d’extrême urgence pour apporter une aide immédiate d’un montant de 24 millions de fcp, portée ensuite à 36 millions de fcp. Le Haut-commissaire annonce, ce mercredi 15 février, que les "crédits ont été totalement utilisés. Ils ont permis d’apporter, en liaison étroite et complémentaire avec les initiatives prises par le gouvernement du Pays, une réponse rapide pour subvenir aux besoins de première nécessité des populations sinistrées".
Voici comment les financements ont été répartis :
- Traitement des conséquences immédiates et urgentes 61,56%
- Hébergement en urgence et temporaire des sinistrés 17,98%
- Protection des bâtiments endommagés 7,25%
- Besoins de première nécessité des sinistrés 13,21%
Les aides ont été réparties auprès des communes sinistrés et des associations venues en aide aux sinistrés afin de sécuriser leurs habitations, et qui les ont accueillis dans les différents centres d’hébergement en finançant notamment l’achat de matelas, de matériels pour cuisiner, de produits alimentaires et hygiéniques etc.
Le Haut-commissaire rappelle que dès le 3 février 2017, sans attendre la procédure d’évaluation des dégâts, la Ministre des Outre-mer a procédé à l’activation du Fonds de secours en procédure normale, soit un gain de temps de 4 mois par rapport à la procédure ordinaire.
René Bidal affirme également que son service travaille avec ceux du Pays et des communes pour "recenser, dans les meilleurs délais, les entreprises artisanales et familiales et les collectivités ayant subi des sinistres et pour les aider à constituer les dossiers qui seront présentés afin d’obtenir les financements nécessaires pour rétablir le fonctionnement normal des équipements publics essentiels à la vie collective (ponts, routes, enrochements des rivières, réseau d’alimentation en eau potable…)".
Voici comment les financements ont été répartis :
- Traitement des conséquences immédiates et urgentes 61,56%
- Hébergement en urgence et temporaire des sinistrés 17,98%
- Protection des bâtiments endommagés 7,25%
- Besoins de première nécessité des sinistrés 13,21%
Les aides ont été réparties auprès des communes sinistrés et des associations venues en aide aux sinistrés afin de sécuriser leurs habitations, et qui les ont accueillis dans les différents centres d’hébergement en finançant notamment l’achat de matelas, de matériels pour cuisiner, de produits alimentaires et hygiéniques etc.
Recenser les entreprises artisanales, familiales, et les collectivités
Le Haut-commissaire rappelle que dès le 3 février 2017, sans attendre la procédure d’évaluation des dégâts, la Ministre des Outre-mer a procédé à l’activation du Fonds de secours en procédure normale, soit un gain de temps de 4 mois par rapport à la procédure ordinaire.
René Bidal affirme également que son service travaille avec ceux du Pays et des communes pour "recenser, dans les meilleurs délais, les entreprises artisanales et familiales et les collectivités ayant subi des sinistres et pour les aider à constituer les dossiers qui seront présentés afin d’obtenir les financements nécessaires pour rétablir le fonctionnement normal des équipements publics essentiels à la vie collective (ponts, routes, enrochements des rivières, réseau d’alimentation en eau potable…)".