Après près de trois mois de confinement à Bordeaux chez ses grands-parents, Krystal Garcia, judokate polynésienne de l'équipe de France, est de retour à l'entraînement à l'INSEP. A 18 ans, elle fait partie des athlètes prometteurs pour les Jeux Olympiques 2024.
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Krystal Garcia porte Tahiti dans son coeur et sur son corps. La judokate polynésienne est de retour en équipe de France après trois mois d'arrêt pour cause de blessure et de confinement. Au programme de l'entraînement à l'INSEP (Institut National du Sport et de l'Expertise des Performances), une séance individuelle de musculation.
"La reprise se passe très très bien, confie la jeune femme qui suit un programme différent car elle a contracté le coronavirus durant l'épidémie, Au niveau cardiaque, je dois faire encore quelques examens". La judokate des moins de 78 kilos a hâte de retrouver les tatamis mais les sports de combat ne sont pas encore autorisés par le gouvernement.
A 18 ans seulement, Krystal représente l'un des joyaux de l'équipe de France. La perle de Tahiti est destinée à une belle carrière internationale. "C'est un espoir, si on l'a prise, c'est qu'on croit en elle", explique Gilles Bonhomme, ancien judoka et entraîneur national juniors féminines. "Le combat ici est plus dur mais c'est aussi ce qui sera attendu au niveau international, donc il faut qu'elle continue de travailler", souligne de son côté Stéphane Traineau, directeur des équipes de France de Judo.
"La reprise se passe très très bien, confie la jeune femme qui suit un programme différent car elle a contracté le coronavirus durant l'épidémie, Au niveau cardiaque, je dois faire encore quelques examens". La judokate des moins de 78 kilos a hâte de retrouver les tatamis mais les sports de combat ne sont pas encore autorisés par le gouvernement.
A 18 ans seulement, Krystal représente l'un des joyaux de l'équipe de France. La perle de Tahiti est destinée à une belle carrière internationale. "C'est un espoir, si on l'a prise, c'est qu'on croit en elle", explique Gilles Bonhomme, ancien judoka et entraîneur national juniors féminines. "Le combat ici est plus dur mais c'est aussi ce qui sera attendu au niveau international, donc il faut qu'elle continue de travailler", souligne de son côté Stéphane Traineau, directeur des équipes de France de Judo.